FGM, Lebledparle.com
« Audit et conseil : les filiales d’Afrique francophone quittent le réseau mondial de PwC », titre ce matin, le quotidien Le Jour. Selon le journal, il y a quelques années encore ces prestigieux cabinets affichaient des objectifs de croissance supérieurs à 10 % notamment grâce à leurs activités sur le continent. Aujourd’hui cette embellie n’est plus d’actualité et certains au Cameroun plient bagage.
Parlons avec La Nouvelle Expression, des attaques de Boko Haram. Samuel Kamé-Domguia, Capitaine de Vaisseau à la retraite, explique dans les colonnes du journal, comment les terroristes ont surpris : les militaires camerounais avec des drones-suicides dans la nuit. Il se dit bien inquiet, parce que les combattants de Boko Haram ont changé radicalement de stratégie d’attaque. C’est pourquoi il conseille le gouvernement camerounais de prendre des mesures urgentes pour faire face à la nouvelle donne.
Les injonctions de Célestine Ketcha Courtès au maire de la ville, Luc Messi Atangana pour lutter contre l’insalubrité dans la ville de Yaoundé, font la Une du journal L’Equation paru en kiosque ce matin. Selon notre confrère, depuis un certain temps beaucoup, d’encre et de salive ne cessent d’alimenter les débats sur la question des responsabilités sur la collecte des ordures dans nos villes. « Certaines personnes, sans comprendre la notion de responsabilité en la matière, s’attellent à cibler des responsables sans apporter le moindre élément de conviction qui puisse les conforter dans leurs positions, et nourrir l’opinion d’informations justes et recoupées. Pour une meilleure compréhension des uns et des autres sur la gestion des déchets dans les villes, les textes sont clairs et établissent la notion de responsabilité au niveau des collectivités territoriales décentralisées et de l’administration. Dans une correspondance du ministre de l’habitat et du développement Urbain, adressée au maire de la ville de Yaoundé, Célestine Ketcha Courtes prescrit des exigences urgentes à mettre en place pour nettoyer la ville. Une démarche qui concourt à donner tu ton à l’opération ville propre », peut-on lire.
Le journal L’Indépendant en kiosque ce matin parle de la présidentielle de 2025, et s’intéresse à la récente sortie de la conférence épiscopale du Cameroun. En effet, par une longue lettre pastorale publiée le 28 mars 2025, la conférence épiscopale nationale du Cameroun (Cenc) énumère toutes les entraves à la tenue d’une élection présidentielle inclusive, libre et transparente. L’éditorial du Directeur de la publication, Max Mpandjo est à lire ce matin.
Dans un tweet le 28 mars dernier, le candidat de la coalition « Union pour la reconstitution » portée par le parti Univers du Pr Nkou Mvondo, à la présidentielle de 2025, décline quelques aspects de son programme politique. L’ancien bâtonnier promet « la redevance audiovisuelle à toutes les télés et radios », et une subvention à toute la presse nationale, s’il est élu président de la République. Les détails à lire dans les colonnes du journal InfoMatin de ce matin.
Il faut doubler la production agricole mondiale d’ici à 2050 pour lutter contre l’insécurité alimentaire. C’est la proposition du ministre camerounais du Commerce. A cet effet, Luc Magloire Mbarga Atangana, dans une interview avec nos confrères de La Météo, donne son point de vue au sujet des négociations sur l’agriculture à l’Omc et sur une redynamisation de l’aide en faveur des économies en développement pour stimuler la production agricole.
L’ex-président nigérian, Olusegun Obasanjo étend ses activités dans la zone portuaire de Kribi. Le lancement imminent d’Obansanjo Agro-Allied Business Ltd (OABL), consortium qu’il dirige va contribuer entre autres, à renforcer le commerce entre le Cameroun et le Nigeria. Les détails à lire dans les colonnes du quotidien L’Economie.
Le Drapeau nous apprend en sa page 3 ce matin que la police vient de mettre fin à un vaste système d’escroquerie orchestré depuis la prison centrale de Kondengui, impliquant des détenus, un gardien de prison et des agents de télécommunication. Au cœur de l’affaire, l’utilisation abusive des identités de hauts commis de l’Etat pour soutirer des fonds à des candidats aux concours de la Police…
