Le journaliste très proche de Samuel s’est exprimé sur l’affaire qui oppose l’attaquant du Qatar FC à l’ancien lion indomptable Joseph Antoine Bell au sujet de l’élection du président de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT).
Ce dimanche « jojo » a été l’invité de Rodrigue Tongué dans le cadre de la rentrée de l’émission l’Arène diffusé des dimanches sur Canal 2 international. Interrogé sur le rôle que Samuel Eto’o joue dans le processus électoral à le Fecafoot, Antoine Bell a demandé à son fils Eto’o de retourner au football.
Réagissant à cette déclaration de Bell sur sa page Facebook officielle, Martin Camus Mimb affirme que si le père a des choses à dire au fils qu’il le fasse en face. « Dans la dialectique du « Père » et du « Fils », il y a quelque chose de sacré : Le père n’a pas besoin de médire du fils, qu’il a la possibilité de lui dire des choses en face ».
Bien plus, le promoteur de la radio RSI émettant à Douala poursuit en soulignant que le père doit protéger et sécuriser le fils et non l’inverse. « Pendant toute mon enfance, j’ai toujours pensé que donner du « Papa » à quelqu’un était un gage de sécurité et de protection. Un père n’a pas le droit de demander la pitance dans la nuit, et maudire son fils dans la journée », ajoute MCM.
Pour rappel, il y a huit candidats en lice pour la succession de Tombi A Roko Sidiki à la tête de la Fecafoot, même l’attention pour le moment être cristallisé sur deux candidats Antoine Bell et Seidou Mbombo Njoya.
L’intégralité de la sortie de Martin Camus Mimb
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JE PRÉFÈRE EN RIRE…
« On avait sûrement calomnié Joseph K., car sans avoir rien fait de mal, il fut arrêté un matin… » j’ai adoré cette entame de « Le Procès » de Frantz Kafka, que je retrouve dans la vie de certains.
Depuis plus de 30 ans, le refrain est le même : » On ne m’aime pas, on est jaloux de moi, les autres ne comprennent rien, je suis le plus beau… » Mon oeil! Dans la dialectique du « Père » et du « Fils », il y a quelque chose de sacré : Le père n’a pas besoin de médire du fils, qu’il a la possibilité de lui dire des choses en face.
Pendant toute mon enfance, j’ai toujours pensé que donner du « Papa » à quelqu’un était un gage de sécurité et de protection. Un père n’a pas le droit de demander la pitance dans la nuit, et maudire son fils dans la journée.
Venez me taper, je regarde les entraînements d’AS Babimbi au stade municipal de Ngambè. Ahahahaha