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Michel Biem Tong remercie Olanguena Awono, Amadou Vamoulke et Nguini Effa

Michel biem phots

Dans une nouvelle sortie, le journaliste Michel Biem Tong qui était emprisonné dans le cadre de la crise anglophone, dit « merci à Olanguena Awono, Amadou Vamoulke et Jean Baptiste Nguini Effa pour leurs conseils et leurs messages de réconfort à mon arrivée en prison »


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Michel Biem Tong – DR

Il fait partie des 289 personnes détenues dans le cadre de la crise anglophone qui ont été remises en liberté vendredi dernier, suite au décret présidentiel signé la veille. 

Dans une lettre de remerciement à tous ceux qui ont participé à sa libération et son soutien morale, le journaliste n’a pas hésité à remercier d’anciens dignitaires du pouvoir de Yaoundé incarcérés pour détournement de deniers publics.

« Merci au ministre Urbain Olanguena Awono, à l’ancien Dg de la CRTV Amadou Vamoulke et à l’ancien Dg de la Société des dépôts pétroliers (SCDP) Jean Baptiste Nguini Effa pour leurs conseils et leurs messages de réconfort à mon arrivée en prison », écrit sur Facebook le journaliste de 33 ans qui souhaite que  « Dieu tout puissant abrège le séjour en prison de tout ce beau monde ».

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Michel Biem Tong dit également pardonner ses confrères journalistes qui se sont réjouis de ses malheurs. « Aux confrères qui se sont réjouis de mon arrestation ou alors m’ont condamné sans être venus me rencontrer, je comprends et connais l’environnement dans lequel nous journalistes camerounais travaillons. Vous êtes excusés.

Interpellé le 23 octobre et détenu pendant trois semaines au Secrétariat d’Etat à la Défense il a été placé par la suite sous mandat de dépôt à la prison centrale de Yaoundé le 15 novembre.

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Le cyber journaliste était poursuivi pour « apologie du terrorisme » ; « outrage au Chef d’Etat » ; « apologie des crimes d’atteinte à la sûreté de l’Etat » ; « propagation de nouvelles susceptibles de nuire aux autorités publiques et à la cohésion nationale », des chefs d’accusation passibles d’une peine de mort.


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