Près d’un an après l’élection du 7 octobre 2018, Cabral Libii parle de ses relations avec autrui.
En direct à la radio Balafon émettant à la fréquence 88.1 à Yaoundé ce mercredi 18 septembre 2019, Cabral Libii donne sa perception des choses après l’élection présidentielle du 7 octobre 2018.
Pour l’homme politique, il n’a pas changé, car il chemine avec les personnes qui l’ont accompagné de la période préélectorale le 27 mai 2017 jusqu’à après le scrutin : « Armand Okol, Nkongo, Thomas Ekallé », a-t-il cité parmi tant d’autres.
Pour ce qui est du régime en en place ou encore de l’opposition elle-même, le Président du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN) reconnait qu’il n’est encore ni baron dans l’un ou l’autre camp.
« Je ne pense pas être craint par les barons du régime ou de l’opposition », reconnait le juriste au contraire « Je suis respecté », a-t-il précisé.
Le plus important pour « l’étoile montante de la politique africaine », c’est de travailler nuit et jours sur le terrain avec son équipe pour se préparer aux échéances électorales qui pointent à l’horizon.
« Depuis le 2 janvier 2019 je compter le nombre de fois que passé nuit chez moi. Et vous imaginez ce que ça peut causer comme impact dans ma vie de couple », affirme Cabral Libii.