Chers abonnés, bonjour ! Bienvenus à la revue de la presse quotidienne avec lebledparle.com, édition de ce mercredi 6 novembre 2019.
6 novembre 1982, 6 novembre 2019, voilà exactement 37 ans que le président Paul Biya accédait à la magistrature suprême. L’information intéresse l’essentiel des journaux arrivés à notre rédaction ce matin. Pour en parler, nous commençons avec le quotidien bilingue gouvernemental, Cameroon Tribune.
Dans son numéro spécial dédié à la célébration des 37 ans de règne de Paul Biya, Cameroon Tribune écrit ce matin à sa grande Une « l’objectif du Renouveau n’a pas changé ». Sur 17 pages bien remplies, notre confrère nous fait savoir que le décollage économique et la prospérité du Cameroun restent la préoccupation majeure du président de la République, qui tient le pays d’une main de fer depuis 37 ans. Cette commémoration qui coïncide avec l’an 1 du septennat des « Grandes opportunités », indique Cameroon Tribune, est une occasion de jeter un regard sur les avancées enregistrées, en dépit du contexte sociopolitique et sécuritaire pas toujours favorable.
Après le journal de Marie-Claire Nana, c’est le trihebdomadaire de Guibai Gatama qui en parle également ce matin. Le journal nous replonge dans l’histoire des relations entre Paul Biya et son prédécesseur Ahmadou Ahidjo. « Paul Biya et le testament d’Ahmadou Ahidjo » titre L’œil du Sahel en kiosque ce matin.
Tribune d’Afrique, le journal de Faustin Njikam parle de la même actualité. Le journal présente Paul Biya ce matin comme « l’inoxydable ». Selon Tribune d’Afrique, le temps a juste laissé quelques rides sur son visage, mais « le jeune de 86 ans tient toujours le gouvernail d’une main de fer dans un gang de velours ». Notre confrère propose ce matin, une ballade sur les 37 ans de pouvoir de Paul Biya qui ont mis le Renouveau à l’épicentre du jeu politique national. « Entre réussites et échecs, le Cameroun est quand même resté debout », renseigne notre confrère. Vous lirez également dans ce journal, l’éditorial du directeur de publication de Tribune d’Afrique, Faustin Njikam.
La suspension du Cameroun des accords commerciaux prononcée par le président américain Donald Trump la semaine dernière fait également la préoccupation de certains quotidiens parus ce matin. Pour Réalités Plus de Paul Ngouaré Kindi, le Cameroun est un pays souverain et ne fonctionne sous les ordres d’aucune autre puissance. « M. Donald Trump, le Cameroun n’est pas une sous-préfecture des États-Unis », écrit Réalités Plus en kiosque ce mercredi 6 novembre 2019. Notre confère prend également la défense du ministre délégué à la Défense, Joseph Beti Assomo qui selon lui, est victime des calomnies, jalousies, d’une campagne de sabotage inutile qui viseraient à le freiner dans son élan ceci depuis un an. « Laissez Beti Assomo travailler », interpelle le journal de Paul Nguaré Kindi en kiosque.
Mutations parle aussi des relations entre le Les États-Unis, le Cameroun, et la France. Alors que le premier fait grise mine, annonçant la rupture avec le second, le troisième redynamise plutôt ses relations avec le second.
Essingan de Marie-Robert Eloundou est lui aussi arrivé à la rédaction de lebledparle.com ce matin. Le trihebdomadaire du quartier Essos à Yaoundé parle de la conférence des chefs d’États de la zone Cemac qui devra se tenir à Yaoundé à l’initiative de Paul Biya. Le journal nous donne déjà quelques points imminents qui seront abordés dans ces assises qui dureront deux jours (21 et 22 novembre 2019 Ndlr). Selon notre confrère, l’épineux problème du franc CFA, ainsi que les défis sécuritaires seront au centre des débats.
« Le Cameroun est économiquement paralysé et à genoux », c’est du moins ce qui ressort de la conférence de presse de l’ancien conseiller du président de la République, Christian Penda Ekoka, donné à son domicile le mardi 5 novembre 2019 à Yaoundé. Le compte rendu de cette conférence de presse est contenu dans les colonnes du quotidien l’Économie en kiosque ce matin.
EcoMatin de ce matin parle de la gouvernance financière. Le journal d’Émile Fidieck indique ce matin que les établissements financiers UBA, BGFI, CITI, et la CBC sont au scanner au FMI.
Notre revue de presse de ce matin rentre en gare avec l’hebdomadaire Diapason qui revient sur le Grand Dialogue national. Notre confrère s’interroge ce matin « à qui profite le flou qui persiste ? » Un mois après les assises, aucune orientation n’a été donnée sur les propositions faites. Diapason regrette également que rein n’a filtré le contenu du statut spécial accordé aux régions du Nord-Ouest et du Sud-ouest, conformément à l’article 62 alinéa 2 de la constitution. Diapason est à retrouver en kiosque ce matin.
Rendez-vous en kiosque vous procurer votre journal au prix de 400 FCFA. Quant à moi, je vous souhaite une excellente journée, et à demain… !