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Cameroun : Les causes de l’incendie survenu au domicile familial du militant du MRC, Sam Sévérin Ango

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La villa familiale de l’homme politique camerounais Sam Severin Ango a été emportée par les flammes, dans la matinée du dimanche 19 janvier 2020, au quartier Andoo, à 7 Km du centre-ville d’Ebolowa, capitale de la région du Sud.

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Image d’illustration (c) Droits réservés

En effet, selon des informations à ABK Radio, la maison qui devait servir de résidence de campagne du militant du MRC, a été incendiée par son épouse Ngo Ntamack Geneviève au cours d’une réunion de crise entre le couple et les grands enfants de sa compagne. Une assise qui devait aboutir au divorce.

Une volonté manifeste ?

Depuis 4, la relation entre Ntamack, de nationalité française a pris du plomb dans l’aile. Pour mettre un terme à ce que Sam Sévérin Ango appelle « une mascarade », il aurait manifesté sa volonté de divorce. Une idée que sa compagne n’aurait pas supportée, annonçant des représailles.  Selon des témoignages récoltés par nos confrères d’ABK Radio, des explosions ont été entendues au moment du déclenchement de l’incendie, mais les causes de ces explosions demeurent inconnues. La présumée coupable Ngo Ntamack Geneviève en ce moment entre les mains de la police pour exploitation. Le procureur de la république s’est saisi de l’affaire et une enquête est ouverte au parquet d’Ebolowa pour établir les responsabilités.

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Ango n’entend pas lâcher prise

Le Journaliste Sam Severin Ango demande le divorce et souhaite obtenir réparation du préjudice subi. Un préjudice (physique, matériel, moral et psychologique) qu’il chiffre dans sa plainte à hauteur de 150 millions de FCFA. « Rien n’est récupérable. Tous les documents et archives d’enfance ont disparu dans les flammes : les actes de naissance et documents officiels de la famille sont partis dans les flammes », confie l’ancien journaliste.

Un foyer d’enfer ?

« Je n’ai jamais été libre dans cette relation, elle voulait me prendre en otage. Elle profère des menaces de mort contre moi, et même ses grands enfants m’ont menacé. Son fils qui est au GSO a même menacé de me tirer une balle dans la tête », témoigne Sam Sévérin.

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