Parmi les problématiques évoquées par le président Paul Biya à la Jeunesse ce 10 févier 2020, ressort la violence qui va grandissante.
« Nous ne voulons pas de cela au Cameroun », a rejeté Paul Biya, le fléau de la violence dans son discours à la Jeunesse ce 10 février 2020.
En effet, le chef de l’Etat n’a pas insisté sur cette thématique de manière fortuite. Ses propos font référence au drame survenu au lycée classique de NkolBisson le 14 janvier 2020. Brice Bissé Ngosso, élève en classe de 4ème avait mortellement assassiné son professeur de mathématiques, Boris Kévin Njomi Tchakounté.
Pour Paul Biya : « Cet acte, à peine croyable, en dit long sur les dérives de nos sociétés modernes ». Ainsi, parents, enseignants et hommes religieux ont du pain sur la planche.
Pour pallier les scènes de cet acabit, : « J’en appelle aux parents, aux hommes de religion et aux enseignants pour que, grâce à l’éducation qu’ils dispensent, de tels faits ne puissent se reproduire. Je vous demande également de réfléchir à ce qui s’est passé, d’en mesurer la gravité et de prendre l’engagement de ne jamais commettre de tels actes », a formulé le premier magistrat non sans avoir réitéré ses sincères condoléances aux « aux malheureux parents concernés ».