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Garoua : Les hommes de médias à l’école de la production

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Du support papier (presse écrite) au téléphone (multimédia) qui fait sensation de nos jours en passant par la radio et la télévision, le monde du journaliste évolue et ce dernier doit s’adapter.

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seminaire JRI a Garoua (c) Lebledparle

Depuis hier lundi, la ville de Garoua abrite un séminaire de formation en JRI à l’attention des hommes et femmes de médias.

Donnant la leçon inaugurale, le Délégué Régional de la Communication pour le Nord, Essiakou El Hadj Salidou, appellera la cinquantaine de participants venus du Tchad, de la RCA et du Cameroun, à bien maitriser les formats et les genres journalistiques, seuls capables de faire de chacun d’eux, une particularité dans un ensemble.

Et parce que le monde et la technologie évoluent,  et que chacun a son multimédia dans sa poche, le journaliste doit désormais être un homme du multimédia.

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Partant de l’historique de la presse pour la nécessité qu’a le journaliste update de savoir intégrer les multimédias dans son quotidien s’il ne veut pas « disparaître comme les dinosaures », le formateur Germano-suisse M. Johannes Hierl (PDG de Max TV) a rappelé aux uns et aux autres le caractère sacro-saint des productions et l’impératif du passage vers le métier de JRI (Journaliste Reporter d’Images) qui offre de meilleures opportunités de nos jours.

Pendant une semaine, Johannes Hierl, partagera ses connaissances et expériences de plus de 30 ans de métier à ces hommes et femmes désireux d’améliorer les qualités de leurs productions dans leurs médias respectifs.

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Pour le Président du comité d’organisation de la formation, Dr. Alphonse Teyabe : « Le présent séminaire vise à équiper les participants en vue de production TV… un accent a été mis sur la participation de la gente féminine afin de l’intéresser à embrasser les métiers de la communication».

Alliant pratique et théorie, au terme de la formation, dans les rédactions respectives, au pied du mur dans les nouvelles productions, chaque participant sera évalué.


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