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Joseph Espoir Biyong : « Je suis une créature de Cabral Libii »

Joseph Espoir Biyong PCRN

Le Maire adjoint Douala 5e (PCRN) a été l’un des invités de la matinale d’information sur ABK Radio. Le jeune homme s’est exprimé sur les sujets d’actualité au Cameroun et sur son avenir politique.


Joseph Espoir Biyong PCRN
Joseph Espoir Biyong sur ABK Radio – DR

Le conseiller municipal de Douala 3 affirme sans ambages qu’il est la créature de Cabral Libii, Comme Jacques Fame Ndongo avait dit qu’il est la créature de Paul Biya. « Je suis une découverte, une créature de Cabral Libii et je lui dois allégeance jusqu’à la mort. Je vais profiter de cette opportunité qu’il me donne », déclare Joseph Espoir Biyong.

Il dit avoir capitalisé l’électorat du président de son parti pour entrer au conseil municipal de la commune d’arrondissement de Douala 3ème. « Ceux qui m’ont élu à plus de 80% ont voté Cabral Libii », précise Joseph Espoir Biyong.

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D’ailleurs, il suivra son leader n’importe où il ira dans sa trajectoire politique. « Si Cabral Libii part du PCRN pour le MRC, je prendrai la carte du MRC et si c’est pour le RDPC, je ferai pareil, je l’accompagnerai partout où il ira », indique le Maire adjoint Douala 5e (PCRN).

Joseph Espoir Biyong parlant de l’actualité du masque de Cicam qui a fait les choux gras de la presse et créer la polémique souhaite que l’Etat intervienne pour réduire le prix de ce cache-nez qui n’est pas à la portée du camerounais moyens. « Au-delà du masque CICAM qui coûte 1300 FCFA, il y en a qui sont vendus à 500F…l’Etat doit faire quelque chose pour réduire le prix actuel », suggère-t-il le mercredi 13 mai dans ABK Matin.

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«  La ville de Douala n’est pas tracée dans les normes internationales comme plusieurs villes du Cameroun, raison pour laquelle les commerçants vendent au bord de la route parfois avec des marchandises étalées à même le sol. Les vendeurs dans la brouette et ceux qui vendent sur la chaussée sont plus nombreux et c’est un problème qui préoccupe la mairie de Douala 5. Nous y travaillons », explique Joseph Espoir Biyong.


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