in

Cameroun: Michèle Ndoki s’inquiète de la reprise des classes le 1er juin prochain

MRC Ndoki

Michèle Ndoki s’inscrit dans la même logique que le PURS et le FDC qui s’interrogent sur la reprise des classes le 1er juin 2020 comme l’a prévu le chef de l’Etat compte tenu de l’évolution inquiétante de la maladie.

MRC Ndoki
Michèle Ndoki (c) Droits réservés

La militante et cadre du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun(MRC) s’est posée deux questions rhétoriques sur son compte twitter.

En substrat, la camarade de parti de Maurice Kamto craint une possibilité de contamination massive si les cours reprennent tel que cela s’annonce : « Lequel d’entre vous renvoie ses enfants à l’école le 1er juin ? Les miens ne sont pas concernés mais je suis inquiète, comme j’imagine beaucoup de parents. Ils pourraient soit tomber malades, soit nous infecter… non ? », s’est-elle demandé.

Pour approfondir :   Vers la libération de Paul Chouta ?

Avant l’avocate internationale, certains leaders de l’opposition se sont prononcés sur cette actualité.

Dans une déclaration d’il y a quelques jours, le FDC par la voix de Denis Emilien Atangana, président du parti et par ailleurs conseiller municipal s’est dit « profondément choqué et préoccupé par la volonté du gouvernement de reprendre les cours pour les classes d’examens le 1er juin ».

Pour sa part, Serge Espoir Matomba, premier secrétaire général du PURS a, dans un communiqué rendu public le 25 mai 2020, appelé le gouvernement à réviser sa décision : « le Peuple uni pour la Rénovation sociale(PURS) lui demande de renoncer à la rentrée scolaire 2019-2020 prévu ce 1er juin et organiser les examens et concours officiels sur la base du taux de couverture actuelle des programmes », a proposé le candidat à la récente élection présidentielle.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Kledo

Lutte contre le coronavirus : Joseph Dion Nguté exécute le discours de Paul Biya

Noah Justin Roger

Roger Justin Noah : « Le MRC subit un acharnement indescriptible du pouvoir depuis les élections de 2018 »