Chers abonnés bonjour ! L’actualité telle que parue dans les kiosques ce matin est largement dominée par la convocation du collège électoral en vue des élections régionales.
Dans ses pages spéciales ce matin, Cameroon Tribune nous renseigne que tous les acteurs du processus sont déjà mobilisés à travers le pays pour prendre part à ce rendez-vous historique, ce depuis la convocation du corps électoral lundi dernier par le président de la République.
L’Essentiel du Cameroun revient sur l’essentiel de ce rendez-vous électoral en dressant, le profile des candidats, des votants, des partis politiques susceptibles de participer à ces consultations non sans donner le nombre de bureaux de vote, de conseillers par région. Toutefois, L’Essentiel du Cameroun ne manque pas de jeter une brèche sur la mise en garde de Paul Atanga Nji relative au mot d’autre de boycott lancé par certains partis politiques rappelant « qu’aucun écart de comportement ne sera toléré ».
Parlant des appels au boycott lancé par le leader du Mrc, le quotidien Émergence paru en kiosque ce matin soutient que Maurice Kamto « joue sa survie politique ». L’analyse de la rédaction du journal est à lire en page 5.
Le journal Régions interroge les capacités du SDF e du MRC à mettre leurs menaces en exécution avec l’annonce de la tenue des régionales voulu par Paul Biya.
« Face aux menaces de trouble brandies par certains leaders politiques contre le bon déroulement du prochain scrutin, convoqué par le président de la République, le ministre de l’Administration territoriale réitère l’inhabilité de l’autorité de l’État », écrit Essingan. Pour lui, Paul Biya a fixé, Atanga Nji a « balisé ».
Sortons des régionales pour parler de l’affaire Mebe Ngo’o. Le Messager estime que l’inculpation de ce dernier aurait un lien avec « une convention de prêt signée entre l’empire du Milieu et l’État du Cameroun dans le cadre de l’achat du matériel militaire estimé à 196 milliards de FCFA », au moment où il était au poste de ministre de la Défense.
« Ambassades du Cameroun au Vatican et de Rome : L’enfer et le paradis », écrit Repères dans sa livraison du jour. En guise d’explication, notre confrère renseigne que le personnel dans ces deux représentations diplomatiques ne sont pas traités de la même manière. Des arriérés de salaires et leur récente baisse accentuent la précarité du personnel de l’ambassade du Cameroun à Rome. « Après l’échec de la démarche auprès des autorités camerounaises, les regards se tournent vers le gouvernement italien ».
Merci chers abonnés, de nous avoir visité. Bonne journée !