Depuis l’annonce le 25 décembre 2020 du décès de Diego Armando Maradona, les hommages pleuvent sur la toile à n’en plus finir.
Diego Maradona (c) Droits réservés
L’ancien meneur de jeu de l’équipe de football argentin Diego Armando Maradona a définitivement accroché ses godasses dans sa résidence à Buenos Aires des suites d’une crise cardiaque alors qu’il venait de célébrer son 60ème anniversaire. C’est une nouvelle qui attriste le monde entier au vu du talent presqu’inégalé dont a fait montre celui qu’on appelait affectueusement « El Pibe de Oro ».
Un modèle pour Didier Drogba
Pour l’ex capitaine Ivoirien Didier Drogba, le maillot de Dieguito était le premier qu’il a arboré dans sa vie, ce qui témoigne à suffire de la passion que lui avait inoculé le champion du Munidial Mexique 1986.
Une triste nouvelle
Le quadruple ballon d’Or africain Yaya Touré est tellement dépassé par l’annonce de la nouvelle bouleversante qu’il n’a pas pu trouver de mot pour décrire son état d’âme.
Adios!
Pour sa part, le célèbre attaquant camerounais Patrick Mboma Ndem a souhaité bon voyage au légendaire footballeur argentin qui vient de quitter la terre des vivants.
Rappelons que Diego Armando Maradona est issu à l’époque, de l’un des quartiers pauvres de Buenos Aires qui ne tarde pas à démonter son talent.
Le génie
Interrogé par la télévision nationale argentine alors qu’il que 12 ans, le footballeur affirma : « J’ai deux rêves, disputer une Coupe du Monde, et la remporter ». Après avoir entamé son parcours professionnel avec le club Argentions Juniors et l’équipe nationale argentine avant 17 ans, Diego réalise son rêve en 1986 au Mexique lorsqu’il est sacré champion du monde avec son pays.
« El Pibe de Oro »
C’est au cours du Mundial 1986 que Diego se voit attribuer le pseudonyme de « El Pibe de Oro », littéralement, le « gamin en Or» ou encore « La Main de Dieu » pour les autres. En effet, lors du match des quarts de finales qui oppose l’Argentine à l’Angleterre, Maradona ouvre la marque de la main. A la grande stupéfaction ; le but est accordé par l’arbitre central. Quelques instants après, le génie, au bout d’une course héroïque de 50 mètres, dribble quatre joueurs anglais et double la mise ; c’était alors le fameux « but du siècle ».