Chers abonnés, bonjour et bienvenus à la revue de presse quotidienne camerounaise. L’actualité de ce matin nous amène à la place portuaire de Douala où l’on célèbre la première année de fonctionnement de la Régie du terminal à conteneurs.
Dans son numéro de ce matin, Cameroon Tribune revenant sur le bilan de la première année d’exploitation de la RTC présenté à la presse mercredi 17 février, par les responsables de cette plateforme, informe que l’entreprise a amassée les recettes de l’ordre de 49 milliards de FCFA dont 11 ont été reversés à l’État en termes de recettes fiscales, contre 4,3 avant la reprise.
La Voix du Centre revient également sur cette information et note plutôt que consortium alors concessionnaire du port camerounais selon un contrat devant arriver à expiration le 31 décembre 2019 s’était vu disqualifié d’un appel d’offres international à manifestation d’intérêt pour le renouvèlement de ladite concession du Port de Douala. Entré en service depuis janvier 2020, la Régie du terminal à conteneurs, créée par le Port autonome de Douala a fait passer son chiffre d’affaires de 48 milliards de FCFA en 2019, à plus de 49 milliards de FCFA entre le 1er janvier et le 31 décembre 2020.
Pour InfoMatin de Dieudonné Mveng, alerte pour sa part qu’il s’agit « des chiffres virtuels » manipulés par Cyrus Ngo’o. Le journal dans son démenti, indique que, le Directeur général de la RTC « brandit » les chiffres des résultats d’exploitation « astronomique et totalement faux », au moment où la place portuaire « se meurt ».
Dans le Mbam et Inoubou région du centre, Mutations alerte sur un conflit foncier de plus de 10 mille hectares qui aguiche les appétits. En effet, d’après notre confrère, « un nébuleux projet de production et transformation du cacao », suscite déjà les polémiques de ce côté.
Le ministère des Finances obtient des facilités de crédits pour 10 mille personnels en sa charge. L’information est de Défis Actuels. Dans les détails, il apparait que Louis Paul Motaze a signé le 10 février 2021, une convention avec la Bicec en vue de l’octroi de crédits de 12 à 120 mois aux personnels de son département ministériel pour réaliser leurs projets.
Chers abonnés, c’est le peu de quotidiens arrivés à notre rédaction ce matin. Merci de nous avoir une fois de plus fait confiance. A demain pour notre dernière sortie de la semaine.
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