L’information est publiée dans le journal L’indépendant parue ce 14 avril 2021 et porte la signature du Directeur de publication de ce média Max Mpandjo.
Homosexualité : La double vie de J. Rémy Ngono selon les journaux L’indépendant et Infomatin
Parti du Cameroun à la suite de ses déboires à Radio Siantou, J. Remy Ngono, a créé un style à la radio. Redresseur de torts et justicier, franc-tireur, sa tristement célèbre tribune au vitriol « Coup-franc », est devenue un véritable objet de lynchage médiatique. Personne n’y échappe. Chacun en prend pour son grade. Il en veut particulièrement à son pays d’origine. Il distribue des bons et des mauvais points, se faisant à la fois procureur et censeur, objecteur de conscience et lanceur d’alerte, agitateur d’idées et donneur de leçons.
Sur la célèbre émission de grande écoute « Radio foot international », il soutenait que le Cameroun ne pouvait pas organiser une coupe d’Afrique des nations, faute de la moindre infrastructure sportive du fait de la corruption rampante et des détournements massifs. Toute honte bue, il se fera reprendre par Constant Omari qui, d’un récent séjour au Cameroun, avait été émerveillé par la qualité des infrastructures sportives, et invitait ce trublion de service à « être fier d’être camerounais ».
Dans le célèbre ouvrage « Complexe du colonisé », l’auteur décrypte tout le processus de lessivage mental et de déculturation ayant amené l’homme noir à penser que la prétendue supériorité de l’homme blanc proviendrait de quelque raison biologique. La première révolte de J. Remy Ngono, est contre lui-même. Aujourd’hui complètement décapé et émasculé, c’est un personnage risible et artificiel, complexé aigri envers son pays et ses dirigeants, déterminé à dépeindre le Cameroun dans ses aspects les plus sombres.
Lorsqu’on se positionne en donneur de leçons, on se doit d’observer une certaine rigueur morale envers soi-même. L’exil politique de J. Remy Ngono, s’est mué en un combat pour la survie. Dans une société qui consacre le mariage pour tous, pour être adoubé par certains milieux médiatiques, le fils de Fegmim-bang dans la Mefou et Akono, s’est livré à corps perdu dans des relations sexuelles contre-nature. On se demandait bien comment avec son Bac « D » qu’il affiche comme référence, son niveau de langue, il avait réussi à devenir la star des médias qui se veulent pourtant exigeants ? L’univers impitoyable dans lequel il a été happé avec les connexions d’Alain Foka et autres, ne l’a pas protégé.
Depuis le 31 mars dernier, la toile est inondée du piteux sort de J. Remy Ngono et des conséquences pitoyables de l’activité sexuelle qu’il mène volontairement ou par dépit : « Mam’zelle Ngono a subi une opération du rectum (anus) mercredi 31 mars 2021 à l’hôpital Armand-Trousseau, Avenue du docteur Arnold Netter 75012 Paris. Les médecins disent que son pronostic vital n’est pas engagé, mais il doit arrêter l’activité sexuelle par l’anus pendant au moins un an, pour que son rectum puisse se refermer » et autres, ne l’a été divulguée au mépris du sacro-saint.
Au moment où le Cameroun et certains dirigeants africains subissent des pressions afin de légaliser l’homosexualité, J. Remy Ngono est aujourd’hui la sombre représentation d’un africain qui a renié toutes les valeurs culturelles de son continent. Il a mené une double vie. Aujourd’hui, complètement pressuré, c’est une femmelette qui n’intéresse plus. L’activité sexuelle qui l’a fait ‘‘star’’, le fait aujourd’hui simple guignol des paillettes médiatiques et d’une société franchement impitoyable. Ainsi, J. Remy Ngono a utilisé le canal anal comme mode d’ascension sociale. Dure sera la chute.
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Cet article n’est pas de la rédaction de votre journal Lebledparle.com. Il s’agit d’une tribune soumise par des journaux papiers en l’occurrence L’Indépendant et InfoMatin.