Il découpe sa maman à l’aide d’une machette à Mfou

Selon nos sources, la scène s’est déroulée ce 3 décembre 2021 à Mfou alors que la victime vaquait à ses travaux champêtres comme à l’accoutumée. 

Les populations de Mfou, dans l’arrondissement de la Mefou-et-Afamba, région du Centre, ont  vécu une scène horrible ce jour. Un jeune homme du nom de Mvogo Emile a froidement assassiné sa propre mère, la nommée Zogo Scholastique.

Scène effroyable

D’après les informations recueillies par la rédaction de Lebledparle.com, dame Zogo a pris la direction de son champ comme tous les jours. En chemin,  elle a rencontré son fils Mvogo Emile, fort éméché et les yeux rouges du fait de « la consommation du tramadol ».

Une dispute s’en est suivie entre les deux. Ce dernier a ensuite assommé un coup de machette à sa mère avant de la blesser partout sur le corps. La victime a succombé à ses graves blessures. Après le matricide, le fils assassin va se constituer lui-même prisonnier.

Le corps de pauvre maman a été déposée à l’hôpital de district de Mfou pour être intégrée à la morgue pendant que son fils, médite son sort entre les mains des forces de l’Ordre.

Rappel d’un matricide

Pour rappel, des scènes pareilles sont devenues récurrentes ces derniers temps. Il y a quelques mois au quartier Djeleng 4 à Bafoussam, Carine Mambé, 5^ème née d’une fratrie de 07 enfants, avait tué sa génitrice par un coup de hache.

La présumée meurtrière avait pour coutume de menacer sa maman. Elle serait même allée au marché pour acheter une machette, son arme d’influence. Mardi dernier, les menaces ou grimaces de la trentenaire sont passées au meurtre.

Alors que sa maman et elle revenaient d’une séance de prière, la maman s’est affalée sur le canapé, question de se reposer après une prise de médicaments pour soulager les céphalées dont elle souffrait. Malheureusement pour cette dernière, ce sera un repos éternel pour elle. Profitant de la fatigue de sa mère, Carine s’est saisie de la hache et l’a assommée à mort au niveau de la tête. A en croire les témoins, l’on pouvait voir le cerveau exposé.