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Le clip vidéo « Meesanedi » de Papy ANZA dévoilé

Anza
« Meesanedi » - Cover

On vous le présentait en 2014, Papy Anza dévoile enfin la vidéo de son single « Meesanedi » extrait du maxi single éponyme de 2 titres officiellement disponible depuis le 16 septembre 2014.


Anza
Papy Anza – DR

Dans « Meesanedi », chanté en langue douala, sa langue maternelle, le chanteur parle d’un enfant qui souffre pourtant avec autour de lui (dans sa famille) des personnes nanties capables de lui apporter tout ce qu’il a besoin. Dans un mélange de guitare basse, synthé avec une voix authentique et émotive, le jeune bassiste nous emmène à prendre conscience des difficultés de nos proches. Dans « Meesanedi », ce sont des inconnus qui viennent à chaque fois au secours de cet enfant. Aujourd’hui, son jour s’est levé et il va désormais réaliser ses rêves.

https://www.youtube.com/watch?v=66nxnlWwF9s

L’auteur de « Meesanedi » est connu comme auteur des textes de nombreux chanteurs et a également participé au titre le titre « Yitu (Espoir) » de la gabonaise Annie Flore Batchiellilys dans l’album « De Mighoma pour vousss… » ou encore dans  la première partie du « Campus tour 2013 » de la camerounaise Charlotte Dipanda . Après l’obtention de son Bachelor  Degree en Biochimie Papy ANZA décide de se consacrer à cette passion musicale. Une pilule difficile à avaler au départ par son père qui deviendra, au fil des ans, son principal admirateur et motivateur.

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Son orée véritable dans la musique remonte en 2009. Né le 4 juillet 1989 il surfe tout d’abord sur les vagues de divers rythmes musicaux avant de se stabiliser dans le jazz et le blues qu’il peaufine dans les cabarets de Douala où il fait ses classes depuis quelques années. Tout en jouant à plusieurs instruments musicaux dont les plus prisés sont la guitare (sèche et la basse).

Les compositions de PAPY ANZA sont un cocktail insatiable de promotion de l’Amour et de la dénonciation des tares sociales telles que : l’utilisation de la tradition pour opprimer l’être, la jalousie, la souffrance, la haine…

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