En la faveur d’un décret du président de la République signé le 23 mai dernier, le Cameroun a adhéré à la Convention de Budapest pour mieux traquer les délinquants sur Internet.
Avec cette autorisation, les pays vont renforcer la législation en matière de protection de son cyberespace, occasion de jouir d’un cadre répressif plus ferme : « Les fléaux qui ont trait à la cybercriminalité sont transfrontaliers. On peut commettre un crime au Cameroun, l’auteur est à l’étranger et la preuve est dans un autre continent », a déclaré la ministre des Postes et Télécommunications (Minpostel), Minette Libom Li Likeng.