Le phénomène de fouet à l’école est la principale thématique à lire dans les colonnes d’Émergence paru ce matin. En effet, après avoir constaté que les châtiments corporels lui sont fréquemment signalés dans les établissements secondaires publics et privés, la ministre de l’Enseignement secondaire, Pauline Nalova Lyonga a décidé de l’interdiction de cette pratique. « Ce mode de punition est interdit au milieu scolaire conformément à l’article 35 de la loi N° 98/004 du 14 avril d’orientation de l’éducation au Cameroun », rappelle la Minesec dans un arrêté contenu dans les colonnes du journal.
La Voix des Jeunes dans sa livraison du jour est allé à la rencontre des Camerounais qui donnent leur point de vue face à cette décision ministérielle. La décision est diversement appréciée par les enseignants et élèves, selon ce qu’on peut lire dans le journal.
Allons-y dans la région de l’Extrême-Nord pour parler des travaux de construction du barrage de Bini à Warak. L’œil du Sahel revient ce matin sur ce projet et fait savoir que ce chantier, lancé en grande pompe en 2017, dans le sillage des grands travaux d’infrastructures initiés dans le pays en 2012, le chantier de construction du barrage de Bini à Warak a été interrompu en 2018. Ceci, juste après la fin des travaux préparatoires d’installation du chantier, d’excavation de la rive gauche et d’ouverture des voies d’accès. À la lumière du journal, tous ces travaux ont été préfinancés par le constructeur, pour environ 20 milliards de FCFA. À l’origine de l’interruption du chantier au bout de seulement un an de travaux, apprend-on, le non-paiement par l’État du Cameroun de la prime d’assurances conditionnant le déblocage du prêt de 182 milliards FCFA obtenu auprès de la banque chinoise ICBC. Les détails à lire dans L’œil du Sahel.
Econews revient sur le lancement du budget 2023 qui a été rendu exécutoire depuis le 16 janvier dernier par le ministre des Finances, Louis Paul Motazé. Dans un contexte économique particulièrement difficile, note le journal, toutes les assurances ont été données pour que sa réalisation soit optimale. De quels leviers dispose l’État pour une sereine collecte des recettes ? La réponse à lire dans les colonnes du journal.
Très chers abonnés, c’est ici que prend fin notre revue de presse ce matin. Merci d’avoir une fois de plus été présent. Restez connecté sur lebledparle.com pour suivre l’actualité camerounaise. À demain pour une nouvelle revue de la presse.