in

Nécrologie : l’honorable Antoinette Gbangbaye Epse Narké n’est plus

Le député, originaire de Bertoua, est décédé des suites d’un malaise à Yaoundé dans la nuit de lundi à mardi, a appris Lebledparle.com.

Antoinette Gbangbaye
L'honorable Antoinette Gbangbaye Epse Narké, décédée - DR

C’est avec tristesse que le Cameroun a appris le décès de l’honorable Antoinette Gbangbaye Epse Narké, députée originaire de Bertoua au Cameroun. Elle est décédée des suites d’un malaise à Yaoundé dans la nuit de lundi à mardi.

Élue pour la première fois en 2013, la défunte était à son deuxième mandat à l’Assemblée nationale après les législatives de février 2020.

Son combat parlementaire

Pendant son mandat parlementaire, elle s’était particulièrement investie dans les domaines de l’éducation et de la protection des couches socialement vulnérables. Elle avait également occupé le poste de présidente de la section OFRDPC du Lom et Djerrm Sud 1 à Bertoua 1er depuis 2015.

Pour approfondir :   Cameroun : Maurice KAMTO place de nouveaux responsables au Directoire National du MRC

Sa dernière apparition publique remonte au 9 septembre dernier à la faveur de la conférence de section RDPC tenue à la permanence du parti à Bertoua. Elle s’insurgeait alors contre le discours haineux.

Sa disparition est une perte pour la scène politique camerounaise et pour toutes les causes auxquelles elle avait consacré son engagement. Nous présentons nos condoléances à sa famille, à ses proches et à tous ceux qui ont été touchés par son action.

c’est une énième disparition de député depuis le début de cette législature.

Pour approfondir :   Jean De Dieu Momo : « Je ne suis pas de ceux qui sont terriblement attachés à un poste »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Robert Simo Kengne

Robert Simo Kengne : « Les problèmes que rencontrent les enseignants sont les problèmes de tous les agents publics »

A L Meka

André Luther Meka : « les anciens militants du Mrc se comportent comme des désenvoutés »