in

Raoul Christophe Bia se confie sur son départ de Vision 4 : « J’ai été menacé de rentrer au Cameroun quand j’étais en Côte d’Ivoire »

Invité de l’émission Show Buzz sur la télévision ivoirienne NCI ce 19 février 2024, le journaliste est revenu plus amplement les circonstances de son départ de Vision 4 et a également évoqué son avenir.

Raoul Christophe Bia
Raoul Christophe Bia (c) Droits réservés

Raoul Christophe Bia apporte des éclaircissements quelques jours après l’officialisation de son départ de Vision 4. Le voyage du grand-reporter en Côte d’Ivoire pour la CAN 2023, en est l’une des causes. A l’en croire, celui-ci n’a pas été très apprécié par sa hiérarchie.  « J’ai eu la possibilité de rencontrer des personnalités là-bas en Côte d’ivoire et cela s’est passé très mal dans la maison (Vision 4)j’ai reçu des menaces masquées. On me demandait de rentrer au Cameroun quand j’étais en Côte d’Ivoire », a déclaré Raoul Christophe Bia au cours de l’interview qu’il a accordée à nos confrères de la NCI.

Pour approfondir :   Cameroun : La presse sportive dénonce la suspension d'Eto'o

Se reposer avant de prendre une décision sur sa prochaine destination

« Je suis rentré au Cameroun le 15 février 2024, il fallait que Vision 4 me rétablisse dans mon honneur et cela n’a pas été fait. Alors, j’ai anticipé mon départ. Pour l’heure, il est question de prendre du repos après un mois de travail. Il y a beaucoup de personnes qui me contactent, des gens me contactent », raconte Raoul Christophe Bia.

« Je ne vais pas poursuivre Vision 4 en justice.  Vous savez au Cameroun, beaucoup de chaînes, ne peuvent pas se permettre de garder des journalistes, comme le fait Vision 4. Ceci notamment, en ce qui concerne le salaire de prestige. Je suis reconnaissant des bienfaits », ajoute-t-il

Pour approfondir :   Lions Indomptables : Jean Pierre Nsamé s’est exprimé après sa grosse blessure

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Eneol

Eneo réclame 18 milliards pour atténuer les délestages jusqu’au mois de mars

Ecolepublique

Plus de 240 000 enfants privés d’éducation dans le Noso à cause de la guerre selon une ONG