En même temps qu’il a félicité Paul Biya, le chef de l’État ivoirien n’a pas manqué de formuler des vœux à l’intention du dirigeant camerounais et du peuple camerounais. « La célébration de la fête nationale de votre pays m’offre l’agréable occasion d’adresser à votre Excellence au nom du peuple et du gouvernement ivoiriens, ainsi qu’en mon nom propre, nos très vives et chaleureuses félicitations », a écrit Alassane Ouattara dans sa correspondance. En cette heureuse circonstance, je forme pour vous-même et votre famille des vœux ardents de sante et de bonheur, de même que ceux de paix et de prospérité pour le peuple frère du Cameroun. »
Alassane Ouattara s’engage par ailleurs, à œuvrer au renforcement des relations bilatérales. « Je saisis cette occasion pour saluer l’excellence des relations d’amitié, de fraternité et de coopération qui unissent nos deux pays. Et pour vous assurer de mon entière disponibilité a œuvrer. De concert avec votre Excellence, à leur raffermissement, dans l’intérêt bien compris de nos peuples respectifs », a-t-il ajouté.
Oligui Nguema y va aussi de son message
« La célébration, le 20 mai 2024, de la Fête nationale de la République du Cameroun m’offre l’agréable opportunité de vous adresser au nom du Peuple gabonais, du Gouvernement de la République et en mon nom personnel, nos vives et chaleureuses félicitations. Je voudrais également saisir l’occasion de cette commémoration de l’Unité de votre pays, pour formuler à votre endroit, mes vœux les meilleurs de santé et de bonheur, ainsi que mes souhaits de prospérité pour le Peuple frère du Cameroun », écrit Brice Oligui Nguema.
Le général d’armée se réjouit par ailleurs de la qualité des relations entre le Gabon et le Cameroun. « Enfin il me plait de me féliciter de l’excellence des relations de fraternité, d’amitié et de coopération qui existent si heureusement entre la République Gabonaise et la République du Cameroun, tout en vous assurant de ma disponibilité à œuvrer de concert avec vous à la consolidation de ces liens, dans le cadre d’avantages mutuellement bénéfiques. Je vous prie de croire, Monsieur le Président de la République et Cher Frère, à l’assurance de ma très haute considération», termine-t-il.