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L’association Family Club forme 120 volontaires pour lutter contre la fièvre jaune à douala

Dans le cadre de la campagne de vaccination de lutte contre la fièvre jaune, prévue du 24 au 30 juillet 2024, l’association family Club forme 120 volontaires qui seront déployés dans neuf districts de santé à Douala.

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ATELIER DE FORMATION DES VOLONTAIRES

Les 120 volontaires mobilisés à Douala par l’association Family Club ont été outillés le 15 juillet dernier à l’hôpital de district de Nylon. Le but étant de préparer la réussite de la campagne de vaccination contre la fièvre jaune qui se déroulera du 24 au 30 juillet 2024 dans  9 districts de santé de la ville.

Pour le coordonnateur national de ladite association, Jonas Yedidia Alirou, les 120 volontaires seront dans des districts à partir de mardi 16 juillet 2024 pour la prise de contact avec les responsables de districts et la cartographie des zones dans lesquelles ils vont intervenir. Nous informe-t-il.

Et le plan stratégie de vaccination adopté par la suite est le suivant : « la sensibilisation et le plaidoyer dans les lieux de cultes, notamment les églises et les mosquées. Ils iront également prendre rendez-vous dans les Petites et moyennes entreprises de Douala. Ils orienteront ensuite les vaccinateurs vers les entreprises avec lesquelles ils auront des rendez-vous formels », affirme-t-il.

Pour rappel, ladite campagne concerne uniquement les personnes de 9 mois jusqu’à 60 ans. Ainsi, il est à noter que ces volontaires feront faces à plusieurs difficultés sur le terrain. « La principale difficulté que rencontrent nos volontaires sur le terrain est la réticence des personnes qui ont peur des vaccins. C’est dû à l’info-demie qui se propage à travers les réseaux sociaux », accuse Alphonse Bayiha, volontaire en chef régional Family Club Littoral. Pour l’heure, l’objectif de Family Club est d’amener au maximum des personnes à prendre le vaccin contre la fièvre jaune pour une société saine.

Pour approfondir :   Incendie à la Sonara : le gouvernement écarte la possibilité de tout risque de pénurie de gaz au Cameroun

 

 

 


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