Au lendemain du déclenchement de la guerre israélienne à Gaza, des affrontements et des échanges de tirs et de bombardements se sont poursuivis entre l’armée israélienne et le Hezbollah libanais, causant de nombreux morts et blessés des deux côtés.
La République française craint donc que le risque d’escalade ne soit accru, notamment après l’assassinat récent du commandant du Hezbollah, Fuad Shukr, la semaine dernière à Beyrouth, et du chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Haniyeh, à Téhéran.
En attendant, la France croise les doigts pour un retour effectif de leur compatriotes.