D’après les informations recueillies par Lebleparle Campus, l’enseignante aurait non seulement frappé l’enfant mais l’aurait également aspergée d’eau. L’incident s’est produit le 3 septembre et, le 6 septembre, l’enseignante a avoué son geste.
Depuis l’incident, elle est restée confinée à son domicile. Actuellement, la petite fille n’a pas repris le chemin de l’école et bénéficiera d’un suivi psychiatrique pendant deux mois. L’enseignante avait déjà été accusée d’avoir giflé un élève en 2012, une allégation que son avocat a vigoureusement niée.
L’avocat a également souligné que sa cliente traversait une période difficile : une classe surchargée, le deuil appris la veille et une maladie naissante. Ces circonstances auraient contribué à son geste envers la fillette.