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Christopher Wooh : « Je suis habitué à m’adapter avec n’importe quel joueur »

Pour Wooh, Ngadeu et Jean-Charles Castelletto ont deux profils différents. L’un (Castelletto) est plus rapide, tandis que Michaël Ngadeu est plus imposant de par son gabarit.

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Christopher Wooh -DR

Christopher Wooh, le défenseur central des Lions Indomptables, a assisté le coach Marc Brys pendant la conférence d’avant-match ce lundi à la salle de conférence du stade Ahmadou Ahidjo. Le match de ce mardi est le dernier de la série de confrontations pour les éliminatoires de la CAN 2025. Face à la presse, le joueur de Rennes a été interrogé sur le style de jeu de ses coéquipiers appelés à évoluer avec lui en défense.

Sur cette question, Wooh estime que Michaël Ngadeu-Ngadjui et Jean-Charles Castelletto sont des profils différents auxquels il s’adapte. « Non, ce n’est pas la même chose, ce ne sont pas les mêmes profils de joueurs. Michaël Ngadeu, c’est quelqu’un qui est dur sur l’homme, un peu du même profil que moi. Castelletto, lui, est un peu plus rapide donc il peut gérer la profondeur. Donc, comme tout joueur professionnel, il faut s’adapter. Et en club aussi, j’ai différents joueurs avec qui je suis associé. Donc, je suis habitué à m’adapter avec n’importe quel joueur », a-t-il déclaré.

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Le Rennais a été également questionné sur les incidents dont-il est victime au Stade Ahmadou Ahidjo. A deux reprises, le jeune défenseur des Lions Indomptables s’est retrouvé à l’hôpital général de Yaoundé pour des chocs survenus au cours des matchs. Loin du pessimisme, Wooh estime que c’est à cause de sa volonté de toujours donner le meilleur de lui-même.

« Non, non, c’est pas parce que moi je suis un joueur qui a un football engagé. La première fois c’était la même, c’était un coup franc, j’essaie toujours de marquer le but. Des fois, ça réussit comme à la CAN, des fois ça ne réussit pas. Je me donne toujours à fond sans protection. Il faut que je fasse beaucoup plus attention des fois si je vois que je ne peux pas avoir le ballon, je ne vais pas y aller bêtement. C’est des faits de jeu, il y a pas d’histoire d’aller voir à côté ou pas », confie Wooh.

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