C’est ce que relève l’Organisation des Nations Unies (ONU) à l’occasion de la journée mondiale des toilettes célébrée ce dix neuf novembre deux mille dix sept.
L’existence des plaques des communes d’arrondissements ou de la communauté urbaine qui « interdire de pisser… » à certains endroits est une réalité dans les quartiers d’habitations.
L’odeur des urines ou des matières fécales se baladent dans des villes camerounaises. Ceci malgré la pose des box ou la construction des cases servant de toilettes publiques gratuit(e)s ou payant(e)s dans certains lieux dans des villes camerounaises
C’est avec regret qu’on observe des personnes (mineur et adulte) se soulager ou déverser leurs excréments dans la canalisation en bordure de la chaussée. Le plus souvent à quelques mètres de là se trouve une étale de commerce.
La loi camerounaise prévoit des sanctions face à ces comportements d’uriner ou de déféquer en plein air. Le chapitre cinq « des atteintes à la moralité publique » du nouveau code pénal sanctionne ces comportements.