in ,

Affaire Bamboutos de Mbouda : La CAF et le TAS confirment le verdict de Samuel Eto’o

La saga de l’Affaire Bamboutos de Mbouda continue de faire couler de l’encre. Après un rejet par la Confédération africaine de football (CAF), le club de l’Ouest camerounais a essuyé une nouvelle défaite devant le Tribunal arbitral du sport (TAS).

Bamboutos
Bamboutos de Mbouda (c) Droits réservés

Le 18 août, le TAS a rendu une sentence qui confirme le verdict initial de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), soutenu par Samuel Eto’o, concernant la qualification du club pour jouer la Coupe de la Confédération. Il convient de rappeler que Bamboutos FC de Mbouda, vice-champion du Cameroun et club de l’Elite One, s’est vu refuser la licence nécessaire pour participer à la Coupe CAF cette saison. La CAF a validé la décision de la Fecafoot de ne pas attribuer ce document au club, ce qui a mis un terme à ses aspirations de compétition continentale.

Verdict implacable

La CAF a expliqué sa décision en affirmant que toutes les étapes et exigences liées à la procédure de licences de clubs, conformément au règlement sur l’octroi de licence aux clubs masculins de la CAF (édition 2022), ont été correctement mises en œuvre par la CAF et la Fecafoot. Par conséquent, la demande de Bamboutos de Mbouda a été rejetée, et la décision de Samuel Eto’o de ne pas accorder la licence reste en vigueur.

Pour approfondir :   Marc Brys entame un nouveau bras de fer avec Samuel Eto'o : « je jouerai tous mes matchs à Yaoundé »

Coup dur pour les supporters

Cette décision a été un coup dur pour les nombreux supporters du club, estimés à un million. Les espoirs de participer à une compétition continentale ont été anéantis, malgré les efforts de contestation et les recours engagés par le club. L’Affaire Bamboutos de Mbouda montre les enjeux complexes et les défis auxquels les clubs de football peuvent être confrontés en ce qui concerne les qualifications pour les compétitions continentales, et met en lumière l’importance de la conformité aux règlements établis par les instances sportives.

Pour approfondir :   Conflits Minsep – Fécafoot : Nathalie fait « Koah » dans l’affaire ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Beyala Calixthe R

Calixthe Beyala : « Le panafricanisme n’est pas à l’origine de la présence russe en Afrique »

Luther Meka Samuel Etoo

André Luther Méka à propos de la Fecafoot: « Seule la normalisation peut remettre les pendules à l’heure »