Datée du jeudi 25 janvier, cette lettre a été adressée au procureur général, au Délégué Général à la Sureté Nationale, au ministre de la Défense et au Ministre de l’Administration Territoriale. Les femmes ont abordé le cas d’Hervé BOPDA, qui agite la toile camerounaise depuis le 21 janvier. Elles enjoignent l’État à prendre position en faveur des victimes, à assurer leur protection, à améliorer la communication avec les citoyens et à corriger les lacunes des systèmes de justice et de sécurité. Elles exhortent également le gouvernement à ouvrir des enquêtes sur l’affaire Hervé BOPDA, soulignant que le silence actuel alimente un sentiment d’insécurité parmi la population. Les femmes insistent sur la nécessité de préserver l’anonymat des victimes et de mettre en place des mesures garantissant leur sécurité. Elles expriment le vœu que ces affaires soient résolues rapidement, considérant que cela constituerait un progrès significatif vers la restauration de la confiance dans les institutions et le renforcement de la sécurité au Cameroun. Par ailleurs, celles çi évoquent les violences subies par la gente feminine dans la société, notamment dans les zones de conflit comme l’extrême nord, le nord-ouest et le sud-ouest, où elles sont particulièrement vulnérables aux menaces des groupes armés non étatiques et des forces armées camerounaises.
elles demandent maintenant au gouvernement de réagir quand on les sensibilise elles s’en fiche pas mal ou alors quand elles partent écarter leurs jambes elles ne s’aperçoivent pas que c’est dangereux ? qu’elles continuent de se vendre elles seront toujours vider ainsi .