in

Alexandre Song raconte sa douloureuse enfance : « J’ai perdu mon père j’avais 3 ans, à 9 ans je me retrouvais à vendre les lotus… »

Alecori

Invité de l’émission « Kick-Off » sur Canal 2 international, Alexandre Song a relaté aux téléspectateurs, ses souffrances dès le bas âge après le décès de son papa.

Alecori
Alexandre Song (c) Droits réservés

Nulle joie sans peine. C’est ce que résume l’histoire de l’ancien milieu de terrain des Lions indomptables du Cameroun sur le plateau de Kick-Off diffusé sur Canal 2 international le 27 août 2021. 

Né à Essos, « un bas quartier de Yaoundé », le capitaine d’Arta Solar 7 au Djibouti dit avoir perdu son papa alors qu’il n’avait que 3 ans. Ce fut dès lors, le début d’un calvaire pour sa famille et lui.

Restée avec « 5 à 6 enfants » alors qu’elle n’avait que « 24 à 25 ans », sa maman qui partageait son foyer avec des coépouses fut « mise à la porte ».

Pour approfondir :   Cameroun : Paul Biya s’adresse à la nation ce mardi 10 septembre 2019

Pour survivre, l’époux d’Olivia a dû se battre comme un vrai Lion : « A 9 ans, je me retrouvais à vendre les ‘’lotis’’. J’achetais le paquet à 700 FCFA puis je le revendais à 1200F. Le bénéfice, je le donnais à ma grande sœur pour qu’elle puisse nous faire à manger », se souvient-il.

L’ancien joueur de FC Barcelone remercie le ciel pour avoir bravé ces étapes qui lui ont permis de devenir homme très tôt. Sa maman, ses frères et sœurs sont à l’aise : « Dieu merci aujourd’hui ma mère a deux maisons », a déclaré Alex.

Pour approfondir :   Cameroun - 20 Mai 2024: Joseph Beti Assomo dévoile le thème de la célébration

Lebledparle.com vous suggère ci-après la séquence vidéo en question…

https://www.youtube.com/watch?v=qqoQWF-2tEg


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

facebook membres

Facebook s’engage pour la question de la protection des données personnelles en ligne au Cameroun

Amougui

Suspension d’un prêtre par Mbalmayo : Des habitants qui disent avoir été « victimes » de pratiques de sorcellerie exigent le retour du curé