La professionnelle de la santé part d’un constat alarmant : les mesures d’hygiène ne sont pas prises dans la confection de ces grillades.
« Ces vendeurs allument le feu avec des sachets plastiques.Et lorsque le feu est sur le point de s’éteindre, ils jettent des morceaux de caoutchouc sur le bois. Donc, en réalité, nous mangeons du poulet assaisonné au plastique« , a-t-elle déclaré sur son compte Twitter.
Selon le professeur Njom Nlend, la combustion de ce plastique libère des substances cancérigènes. Elle a ainsi tiré la sonnette d’alarme contre ces pratiques et espère qu’il y ait une éducation de masse afin de préserver la santé de toute la population camerounaise.
Il ne reste plus qu’à sensibiliser les uns et les autres. Car il sera peut-être difficile d’en arriver à la non-consommation de ces aliments, étant donné qu’ils sont très prisés par les Camerounais. Mais, en fin de compte, les professionnels de la santé considèrent ces aliments comme dangereux pour la santé publique.