La France a réagi plusieurs jours après la survenue des attaques de Galim et Bamenda respectivement les 7 et 8 mars 2020.
« La France condamne avec la plus grande fermeté les attaques perpétrées le 8 mars dans les villes de Bamenda et Galim lors des célébrations de la journée internationale des droits des femmes, qui ont fait plusieurs victimes, dont des civils », a réagi le pays d’Emmanuel Macron suites aux drames qui ont accablé le Cameroun le week-end dernier.
En effet, La veille de la Journée internationale de la femme(JIF) s’est vécue dans la psychose dans l’arrondissement de Galim, département de Bamboutos à l’Ouest Cameroun. Pour cause, huitpersonnes parmi lesquelles, deux gendarmes, deux fonctionnaires de police et quatre civils ont perdu leurs vies suite à une attaque perpétrée par les terroristes sécessionnistes.
Comme si cela ne suffisait pas, le 8 mars 2020 à Bamenda au Nord-Ouest, alors que les festivités de la célébration viennent d’être lancées, le gouverneur Adolph Lélé Lafrique tient son discours aux femmes, un engin explosif télécommandé se fait entendre à une centaine de mètres de la place des fêtes de Bamenda. Le bilan fait état d’un militaire tombé sur le champ de bataille et de plusieurs blessés graves.
A la suite de ces événements malheureux, René Emmanuel Sadi a fait un communiqué où il dénonçait le silence des ONG et de la communauté internationale dont certains « pays amis » face à ces actes terroristes. D’où certainement, la réaction de la France.