LMZ, Lebledparle.com
Au Cameroun, le niveau général des élèves est jugé de plus en plus faible et les critères d’obtention du baccalauréat plus cléments. D’ailleurs, le faible taux de réussite enregistré cette année 2024, est attribué selon certaines sources, à une note de délibération qui ne serait pas allé en deçà de 10,00.
Dans une interview accordée à Mutations mardi 19 juillet 2016, Zacharie Mbatsogo avait expliqué en détail, la méthode camerounaise de délibération du baccalauréat. «Pour ma part, je voudrais vous dire que l’Office du Baccalauréat du Cameroun n’est jamais allé jusqu’à 08/20 de moyenne», faisait-t-il savoir. «Lorsque l’Office fixe ses critères, il vérifie, quelles que soient les performances d’un candidat, que les matières dites fondamentales rassurent sur son niveau. Étant donné qu’il est appelé à poursuivre ses études à l’Université, nous mettons alors une condition sur les matières du premier groupe. Donc, quel que soit ce que l’on vous dit sur la note du candidat qui peut être 08, 08.99, 09 ou 09.50/20, nous lui réclamons un niveau suffisant dans les matières du premier groupe. C’est cela qui nous garantit que son diplôme est valable».
Les séances de rattrapage ont été supprimées
Le Directeur de l’OBC martelait in fine les délibérations sont le fait propre des examens. C’est un phénomène observable partout dans le monde. «On sait que tout le monde est généralement admis à 10/20. Mais, le système fait que l’on essaie de voir s’il n’y a pas une chance à accorder à un élève méritant et qui aurait peut-être subi un aléa le jour de l’examen. Par le passé, l’on organisait une séance de rattrapage pour les candidats qui avaient enregistré une moyenne comprise entre 08 et 10/20. Les sessions de rattrapage ont été supprimées dans notre pays. Il est donc normal que l’on se penche sur les cas qui sont légèrement en deçà de la moyenne», avouait-t-il.
Perso j’aime madame la ministre pour son travail, car je pourrais dire avec certitude que les méritants ont été élus au dernier jour et certains critique venant des autres sont des ennemis du progrès il est donc possible que le pays change et que le baccalauréat camerounais soit accordé au vrai méritants si l’obc pourra descendre au niveau de l’élève moyen c’est à dire 9,20/20 pas en dessous car ont constate que certains n’écrivent pas bien la langue française où ne parle pas bien cela. Leur temps c’est Tik tok , pour les filles, Instagram pour les stars, Facebook pour les moin malins mais perso j’ai pas un problème avec c’est élèves qui non pas eux mais qui doivent vraiment prendre leurs études au sérieux et effectuer les recherches avec panache car le portable n’es pas seulement pour le distraction
Ça c’est l’égoïsme, pas vrai?, peut être c’est vous qui parlez qui n’ont jamais eu 8 de moyen dans leur étude, attention !,vos bouches vont vous tués un jour,gardez le silence devant toutes situations,s’il vous plaît !!!
Bien parlé mon frère.
Que les jeunes camerounais cessent de se laisser distraire avec les réseaux sociaux et se servent des NTIC pour se mettre au travail et améliorer leurs niveaux scolaires. A notre époque, on n’avait pas tout ça (l’époque des « néants », suivez mon regard) mais le niveau général d’études était appréciable.
Quelle époque qui était mieux, mon œil, bandes des nuls, vous pensez que vous êtes plus intelligent que les jeunes d’aujourd’hui, n’accusez personne on est tous les mêmes !!!
Effectivement le niveau doit être relèvé au Cameroun. Je suis d’accord pour que le diplôme reflète le niveau de l’élève. Vraiment c’était déjà de trop avec des diplômés sans niveau
Toi qui parle trop là,tu avais eu 20/20?
Une année des plus de concrétisation et de prise en compte du niveau réel de nos enfants. Perso je suis très contente. Nos enfants doivent faire les efforts nécessaires pour intégrer le monde de l’emploi avec un niveau approximativement bon.
Toi qui parle trop là,tu avais eu 20/20?
Elisabeth Waida
De mon point de vue, l’OBC doit continuer à faire ce genre de travail afin de redonner encore la valeur aux diplômes camerounais. Un constat a été fait ces dernières années, un élève qui a réussi à son baccalauréat ne parvient pas à bien s’exprimer, à bien écrire. Pour finir, L’OBC à bien fait pour attirer l’attention des élèves paresseux.
Quelle valeur,vos choses périmées là ?
Cette année académique a été vraiment désastreuse mais nécessaire car elle nous a permis d’évoluer le réel niveau des enfants. Les filières scientifiques ont été assez performantes en particulier la série C. Bravos a eu.
Vos différentes interventions à ce sujet méritent leurs places.ce pendant personne n’a fait cas de l’enseignement avant évaluation.je présume que certains cours ou devoirs de vos époque anciennes relevés dans un cahier sont jalousement gardés et font votre fierté chaque fois que vous passez par la. Aujourd’hui ces cours et devoirs sont transmis par le téléphone ou Instagram, TIC toc, Facebook et autres se discutent la meilleure place et bien plus l’attention de l’élève.on doit s’attendre à quoi svp? L’enseignant dont les conditions de vie laisse à désirer va dans ces conditions se livrer à toutes manipulation même en monnayage des notes.
Donc cherchons à relever le niveau de nos enfants mais aussi revoir les conditions de vie de ces enseignants
Mon cher Garaba Aboubakar, j’épouse d’une part votre idée sur la façon par laquelle les cours aujourd’hui sont dispensés à nos élèves et qui pour la plupart, leurs parviennent via des canaux numériques contrairement à ce que nous avions connu en notre temps avant la prolifération du numérique. C’est vrai que l’on peut aussi décrier les conditions de vies ou la situation précaire que connaît l’enseignant aujourd’hui, sans oublier même qu’il y en a parmi ces derniers, des brebis galeuses qui sont arrivés dans ce corps de métier par l’appât du gain et non par vocation ou par amour du métier. D’où toutes ces dérives que l’on observe ces temps ci, d’abord par le faible niveau de nos élèves et ensuite par le faux rendement des seigneurs de la craie. Le moi étant haïssable, je dirai quand même que la technologie devrait être plus bénéfique à la réussite de nos enfants de nos jours contrairement à ce que nous avions traversé en notre temps. Car par le passé, il fallait tout attendre de l’enseignant qui était obligé de fournir doublement d’efforts pour sa recherche, afin de mettre à la disposition de l’apprenant des enseignements de qualité. Mais aujourd’hui, l’avènement des TIC , au lieu d’en profiter aux élèves qui peuvent par eux-même faire leurs propres recherches afin de mieux appréhender les cours pour bien se préparer à affronter les examens, ces apprenants préfèrent quant à eux d’en faire mauvais usage de ces technologies dont ils disposent. L’école est devenue facile aujourd’hui avec toute ces technologies, en vérité l’élève doit rechercher à 85% et n’attendre que 20% de l’enseignant avec lequel il doit échanger continuellement , afin de réhausser son niveau de connaissances. Notons que nous à l’époque n’avions pas ces gadgets technologiques, mais nous y mettions amour, détermination, passion et courage pour se distinguer parmi tant d’autres. Aujourd’hui nos jeunes se servent juste de ces technologies et tous ces canaux numériques et réseaux sociaux pour des bêtises, à l’instar des pornographies, trafics et consommation des stupéfiants etc… pour moi, même s’il fallait que l’OBC ne donne le Bacc qu’à un seul élève qui a bien travaillé pendant toute l’année scolaire et faire échouer tous les autres « cancres » sans niveau, j’en serai ravi. Donc s’il y avait par exemple 15000 candidats au Bacc de 2024, si l’OBC pouvait donner à 10 méritants seulement sur toute l’étendue du territoire, ce sera parfait. Comme ça cette méthode duré mettra la puce à l’oreille des autres candidats que l’heure est venue pour qu’ils se réveillent pour prendre en main leur destin, sinon quel Cameroun attendons nous pour nos enfants ? Tôt ou tard, cette médiocrité doit s’achever. Sinon on va continuer de voir ces mêmes « Cancres » venir confisquer les concours administratifs et postes clés de notre République juste parce qu’ils sont parrainés, mais alors qu’en réalité, ils n’en valent même pas un radis.
Bien parler, merci !!!
Un monde en plein bouleversement radical,un monde en pleine mutation !
Sur cette histoire de baisse de niveau dans les établissements scolaires au Cameroun a tout son sens pour moi bien que les élèves aient pour eux une part de responsabilité, l’État aussi n’en manque pas moins. Ne perdons pas de vue que depuis l’an 2015,le système éducatif camerounais a tour à tour subi des chocs de grandes envergures et cela a un impact négatif remarquable tant pour les élèves que pour leurs parents.
Nous pouvons nous souvenir du changement de programme de manuels scolaires,la COVID-19,l’OTS,la philosophie en classe de 1 ère etc .Pour n’importe quel élève, ce changement brusque le surchargera malgré tous les efforts.
Bonjour à tous. Pour moi on doit même faire la dictée en première et en terminale. Le niveau de français est catastrophique chez ces jeunes enfants.
Merci madame la ministre a cette allure nous aurions les enfants plus respectueux. nous étions déjà entrain de perdre nos Cadet car plus de réseaux sociaux et les puberté incontrôlées que leur propre avenir. Vraiment que ce travail ne s’arrête pas seulement à l’OBC car même les écoles professionnelles de nos jours delibre les diplômes dont on ne sait si l’étudiant mérite ou pas. Car plus de diplomés sans expérience professionnelle cause jonglage des stages. une fois de plus 💞 l’OBC
Pour moi, cette année l’obc et le MINSEC Ont bien fait. Car je peux dire que autre fois 75% des diplômés n’avais pas de niveau. Mais suite à cette année 2024 ils se reveilleront.
j’ai compri les MATH en classe de 4em année Grâce à un prof qui malgrès l’epoque du numerique nous disait de laisser les cours numerisés et de prendre note tout en faisant nos exo je le salut le Dr. NOURA ALEXANDRE. Mais plusieurs prof balancent les cours et TD Numeriquement dans les groupes les eleves aiment bien celà pour evité les prises de note. Or en notant on comprend une partie.
les resultats du BAC Cette année j’èspère celà tiendra lieu d’un cathalyseur de reprise de contience par l’enseignants et l’enseigner.