Le mandat présidentiel brigué par Paul Biya à l’issue du scrutin présidentiel d’octobre 2018 s’achève en 2025. À deux ans d’échéance, le débat sur la succession est abordé par la classe politique, voir même d’autres citoyens avertis de la chose politique. C’est dans ce contexte que le président du NMP a donné sa position une éventuelle succession de père à fils au Cameroun, comme dans certains pays de l’Afrique.
Pas de succession dynastique
« Comme le Président Paul BIYA a géré le pays pendant 40 ans, Franck BIYA ne doit même pas pointer son nez », déclare Banda Kani dans ABK matin. « Le Cameroun n’est pas une dynastie ; nous ne sommes pas au Gabon », ajoute l’homme politique. Cette position rejoint celle de l’écrivaine franco-camerounaise Calixthe Beyala qui est contre la succession de père à fils au pays de Um Nyobe. Bien plus, elle pense que le pouvoir doit changer de région.
L’acteur politique qui se définit comme un panafricaniste affirme aussi dans ABK matin que : « Les Africains sont des français qui s’ignorent ».
Banda Kani est un ancien militant du Manidem et a été même président de ce parti avant déposer son tabler.
Merci pour tout mon souhait est d ‘être en contact avec vous frère panafricain.