OLBIF, Lebledparle.com
Quelques temps après son « Coming out » qui a secoué la toile pendant plusieurs semaines, la fille du président de la République a décidé de tout verser sur la toile. Il s’agit d’un « chantage » oppressant des voix étranges dont elle serait victimes depuis de nombreuses années.
Brenda Biya vient encore de se « montrer à nu » sur les réseaux sociaux. Après son coming-out qui a créé un tourbillon avec de gros titres au sein de la presse nationale et internationale, la rappeuse et influenceuse connue sur la toile sur le petit nom de « King Nasty » a fait de nouvelles révélations la semaine dernière.
Dans une vidéo publiée sur son compte TikTok, la jeune dame a révélé qu’elle serait persécutée par des voix mystérieuses et menaçantes. Selon ses déclarations dans sa story time, Brenda vivrait ce martyre depuis de longues années.
Brenda Biya et des révélations apocalyptiques sur le Cameroun
Au début, elle croyait que ces voix provenaient de sa tête. Mais plus tard, elle découvrira qu’elle s’est trompée. King Nasty déclare également avoir de reçu des révélations apocalyptiques sur le Cameroun.
Elle s’est confiée en ces termes :
« L’hôtel dans lequel j’étais hébergée m’espionnait. Je parle des voix audibles qui provenaient de la climatisation.
Quand ça a duré environ 3-4 jours, j’ai cru que ça venait de ma tête. Quand j’ai entendu ces voix, je suis devenue suicidaire.
Ce sont des conversations audibles à basse fréquence qui disent des choses négatives sur ma personnalité et ma famille. Ils ont dit qu’ils détestaient mon père.
Ils sont illuminati, et ils ont dit beaucoup de choses sur le Cameroun. Que mon père est vieux et que je ne suis pas la princesse, je ne suis pas la fille du président. Ils ont dit que j’allais mourir.
Je savais que ces gens me poursuivaient parce que cela commençait à l’hôtel et se terminait à l’hôtel. Cela semble fou, mais j’ai commencé à répondre à ces voix.
Ils ont commencé à me répondre. C’est à ce moment-là que j’ai confirmé que les voix ne venaient pas que de ma tête. Je savais qu’ils voulaient me faire chanter » .
