La situation sociopolitique tendue au Cameroun depuis des années ne laisse personne indifférent, encore moins Cabral Libii qui se veut rassembleur et pacifique.
La chronique publiée sur la page officielle de Cabral Libii ce 31 juillet 2019 condamne tout comportement qui se manifeste par le mépris de l’autre : « Que gagnent-ils en insultant d’autres Camerounais ? Le combat politique n’est pas celui du vandalisme. Chez nous dans Onze millions de citoyens, dans Univers et dans PCRN, on n’insulte pas. Je ne préside pas les ennemis du Cameroun », rassure le candit à la présidentielle 2018.
Loin de se livrer à cette forme de délinquance, l’homme politique reste figé à deux objectifs qu’il doit inéluctablement atteindre et dont les actes parlent déjà d’eux-mêmes.
« J’ai deux combats actuellement qui me font face. Il s’agit de vous envoyer vous inscrire sur des listes électorales secundo, que le code électoral soit retouché pour une élection à deux tours Ne restons pas dans la diversion », avance le juriste.
Pour y parvenir, le leader du Parti Camerounais pour la Réconciliation nationale (PCRN) prie les citoyens de faire table rase au passé qui ne profite à personne.
« 2018 est derrière nous n’insistons pas à revendiquer les choses qui n’ont aucune logique ni du pouvoir ni de l’opposition. Avançons ne dessinons pas ne diable au mur. J’ai fait inscrire plus de 3 millions de camerounais mais, seuls 500 mille ont eu leurs cartes », exhorte Cabral Libii.
L’ancien journaliste prône dans la même lancée, les valeurs de paix et d’union au-delà des égos surdimensionnés des uns et des autres de l’opposition.
« J’invite d’autres leaders de l’opposition à parler d’une même voix pourque le code électoral soit revu sinon pas d’élection en 2020. Ce code est mauvais. C’est le pourquoi j’ai appelé d’autres leaders en 2018 pour qu’ensemble, nous ayons un candidat unique de l’opposition », a-t-il souhaité avant de regretter : « Malheureusement d’autres ont cru que la politique était l’affaire des agrégés ou des footballeurs voire même des rappeurs ».
La position de l’initiateur du mouvement Onze millions de jeunes propose « Que d’autres cessent de tromper nos frères anglophones » car « qui des 9 leaders a été dans le NOSO depuis 2016 ? », s’est-il interrogé déclarant sans ambages ; « Moi Cabral j’y étais ».