La femme de littérature constate que les camerounais sont des fervents croyants, mais elle a l’impression que le magistère du Cameroun est en train du diable. « Les camerounais aiment à parler de Dieu, à prier soi-disant, pourtant le Cameroun semble être géré par le diable en personne », écrit Calixthe Beyala, comme l’a noté Lebledparle.com.
Il faut un nouveau patrimoine pour l’Etat du Cameroun
Dans une autre publication, la littéraire estime que depuis l’arrivée de Paul Biya au pouvoir, les biens de l’Etat n’ont pas été renouvelés et est en otage par des groupuscules de personnes. « Depuis 1982, les biens de l’état n’ont pas été rénovés ; les meubles et immeubles de l’état ont été captés par des groupuscules. Depuis 1982, le Cameroun ne s’est pas constitué un nouveau patrimoine », écrit-elle.
« Un pays debout est celui d’hommes courageux. Un pays au bord du gouffre, est celui d’hommes lâches », argue-t-elle dans une autre publication.
Elle souhaite qu’on remette le passeport de Valsero et que son choix politique ne doit pas porter atteinte à sa nationalité. « A-t-on remis à Valséro son passeport ? Le choix politique des uns et des autres n’influe pas sur notre nationalité », pense-t-elle.