Il est tout récemment revenu à la Banque mondiale à Washington après quelques années avec rang de vice-président à la BAD, la banque africaine de développement. Ceux qui me fréquentent savent qu’il est mon autre idole, je le considère comme mon dieu au même titre qu’un certain Achille Mbembé à qui je voue une adoration mariale (c’est dire).
Célestin Monga est l’économiste camerounais le plus brillant et le plus puissant (j’ambitionne d’avoir ne serait-ce que le 10e de son savoir, je le lui ai rappelé lors d’un de nos récents échanges, il a souri en me disant simplement que je ne vais jamais le regretter- il n’y a que lui qui sait répondre comme ça. Point Parenthèse). Chez nous, ça fait débat mais ailleurs non.
Il vient alors d’annoncer via ses réseaux sociaux, qu’il amorce son prochain chapitre. Célestin Monga, ce sera bientôt Harvard pour enseigner les politiques publiques (macro). Bégaiement de l’histoire, son numéro d’identification en tant que professeur est exactement le même qu’il avait en tant qu’étudiant il y a plus de 25 ans ! Il dit être « excité de travailler avec de grands esprits tout en faisant des recherches sur des questions pertinentes pour l’Afrique. » Donc pour le Cameroun.
QUE DIEU BÉNISSE LE CAMEROUN