C’est le quotidien « Le Jour » livraison de ce vendredi 3 août 2018, qui a relayé l’information.
Ces jeunes filles mères sont « emprisonnées » toutes et pendant plusieurs jours, dans une salle d’hôpital central de Yaoundé parce qu’elles ont été incapables de solder leurs factures (soins d’accouchement par césarienne).
Il convient de rappeler que ces femmes ont été libérés ce jeudi 2 août 2018.