Le président de l’association des avocats du département du Fako, et président du consortium qui a défié le Gouvernement camerounais à propos des revendications des avocats et enseignants anglophones fait partie des africains les plus influents selon le magazine New African.
Comme chaque année, le magazine publie le palmarès des Africains les plus influents de l’année 2017. Parmi les 100 personnalités de cette année, on retrouve l’avocat Félix Nkongho Agbor et huit autres Camerounais.
Ce diplômé de l’Université de Yaoundé en droit privé et de l’école de droit de Lagos au Nigéria a été admis comme avocat et procureur de la Cour suprême du Nigéria en décembre 1996. Il est aussi titulaire d’un diplômé en droit international public à l’Académie de droit international de La Haye en Hollande et diplômé en théorie et en pratique de la prévention des conflits en Afrique à l’Université de Leipzig en Allemagne.
Conseiller juridique de la Chambre de première instance de la Cour pénale internationale pour la Sierra Leone il est aussi Chargée des droits de l’homme à la Mission des Nations unies en Afghanistan ; Conseiller juridique de la Police des Nations Unies au Congo et Conseiller juridique de la Mission des Nations Unies en Afghanistan.
Le président du Consortium est le fondateur et directeur exécutif du Centre pour les droits de l’homme et la démocratie en Afrique. Il été le premier président du Comité de coordination européen du Sud-Cameroun (SCECC) et a dirigé une délégation avec Albert Mukong auprès du président de la Commission européenne pour discuter des questions du Cameroun méridional.
Dans ce palmarès des 100 Africains de l’année 2017 publié par le magazine panafricain New African dans son édition mars-avril 2017 on retrouve aussi les Camerounais Célestin Monga, Roger Nkodo Ndang, Cyrille Kontchou, Cardinal Christian Tumi, Elie Nkamgueu, Roger Tsafack Nanfosso, Bonaventure Ndikung, et Emmanuel Chatué.