Très chers abonnés, bonjour ! Bienvenus à la revue de presse édition de ce mardi 28 janvier 2020. Les quelques Unes arrivées à notre rédaction ce matin, braquent les projecteurs sur la campagne électorale des élections législatives et municipales, qui a démarré le 25 janvier dernier.
Le quotidien Mutations avec qui nous ouvrons cet exercice, nous conduit dans les régions du Nord-ouest et du Sud-ouest où sévit la crise dite anglophone. Selon notre confrère, la situation sécuritaire de ce côté du Cameroun rend difficile le déploiement des candidats sur le terrain. Et au journal de titrer à sa grande Une : « La campagne hantée ».
Le journal de feu Pius Njawé, le quotidien Le Messager parle d’une « participation piégée de l’UDC » aux élections locales. Dans les colonnes de ce journal, Patricia Ndam revisite ses 29 années de présence effective sur la scène politique, ponctuée « des boycotts des élections, les victoires, ou des échecs ».
On poursuit dans les élections avec Le Quotidien qui nous renseigne que Yanick Ayissi et Djomgoue Paul Eric rassurent et persuadent l’électorat dans la commune d’arrondissement de Yaoundé II.
Diapason de François Mboke revient sur l’affaire des avions MA 60, et nous révèle ce qu’on nous avait « caché ». La Camair, sortie des eaux et rebaptisée Camair-co peine à décoller. Malgré les multiples tentatives de l’État, tout semble statique, ou du moins, quand ça bouge, c’est vers l’arrière. Diapason en kiosque ce matin propose une enquête exclusive sur les raisons de ce flop qui dure déjà trop.
Autre information à lire dans la presse ce matin, c’est cette alerte sur le surendettement que lance le FMI au Cameroun. Camer Press qui évoque cette actualité ce matin indique que « bien qu’ayant octroyé plus de 76 millions au pays de Paul Biya, le FMI attire l’attention du gouvernement », au moment où ce dernier s’apprête à faire une « levée de fond record » ce trimestre en cours sur le marché de la Cemac de l’ordre de 305 milliards de FCFA ».
On sort de cette revue avec le quotidien de Thierry Ekoutti. On apprend dans l’Économie que le gouvernement « rédige le plan d’épurement des arriérés de salaires des magistrats municipaux ». Notons que le 6 février 2019, le Premier ministre joseph Dion Nguté en ouvrant les assises générales de la commune promettait aux maires que leurs salaires seront versés régulièrement à condition « qu’ils résident dans leur commune ». Une disposition qui s’appuie en réalité sur le décret présidentiel de septembre 2015 fixant rémunération des magistrats municipaux.
Chers abonnés, une fois de plus, merci de nous avoir fait confiance encore ce matin. Rendez-vous demain pour une autre sortie. Excellente journée !
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