Abonnés de la revue de presse, bonjour ! Heureux de vous retrouver une fois de plus ce matin dans le cadre de cet exercice. Comme tous les matins, lebledparle.com vous propose, l’essentiel des informations parues en kiosque au Cameroun. Commençons ce matin avec InfoMatin.
InfoMatin de ce matin indique que la reconduction ou non de Cavaye Yéguié Djibril à la tête de l’Assemblée nationale et de Niat Njifendji au Senat, bien que tous fatigués, constitue un véritable casse-tête chinois pour l’État du Cameroun.
Du fond de sa cellule, Sissuk Ayuk Tabe, leader des séparatistes se « lâche » pour expliquer dans les colonnes du quotidien Le Messager, « le conflit dans le Nord-ouest et le Sud-ouest, le procès de l’armée, les dérives du Régime Biya, le rêve brisé de l’Ambazonie… », les confessions d’un « bagnard » sont à retrouver dans le journal de feu Pius Njawé paru en kiosque ce matin.
Émergence évoque aussi le cas Cavaye Yéguié à sa grande Une ce matin et estime que ce dernier « préoccupe ». Selon le quotidien privé bilingue, la rentrée parlementaire qui s’est ouvert mardi a été marquée par la grande absence du président de la chambre basse du parlement.
Cameroon Tribune parle d’un « air de neuf », à l’Assemblée nationale. Notre confrère nous fait constater que le bureau d’âge a entièrement une coloration féminine. Retour sur l’ambiance au palais des Verres, avec notre confrère de Cameroon Tribune.
L’affaire Camair -co réapparait dans les journaux ce matin. Expression Economique qui en parle s’interroge sur le sort du plan Boeing. « Alors qu’on est sans nouvelles des propositions faites par le constructeur aérien depuis 2016, le ministre des Finances, à travers la commission technique des entreprises, vient de commettre le cabinet EPAC pour faire une nouvelle étude diagnostique la Cameroon Arline corporation », peut-on lire dans le journal Expression Economique paru en kiosque ce mercredi 11 mars 2020.
On poursuit dans le climat des affaires, avec cette nouvelle contenue dans les lignes du quotidien l’Économie. Le journal de Thierry Ekoutti indique ce matin qu’un accord de prêt de 7,4 milliards a été signé le 9 mars 2020, entre le ministre de l’Économie de la planification et de l’Aménagement du territoire, et la Banque européenne d’Investissement pour permettre au Cameroun d’adhérer à l’Agence pour l’assurance du Commerce en Afrique.
La République presse en kiosque ce matin, présente l’ouvrage du Dr Michel Oyane, intitulé, Paul Biya et la Présidentielle 2018 et dont la préface porte la signature du professeur Mathias Owana Nguini. Dans cet ouvrage de 226 pages, le Chargé de Cours à l’Université de Yaoundé II met en lumière les ressorts et instruments sciemment mobilisés et capitalisés pour la victoire du candidat Paul Biya. Sans sortir des canons scientifiques et académiques, l’auteur recense les ressources qui ont permis au Président Biya de s’assurer la victoire en asphyxiant ses adversaires. Une œuvre dont le coté heuristique que l’auteur conforte par la mise en relief des écueils du Renouveau dont il propose des solutions de remédiation, susceptibles d’impacter le développement du Cameroun.
Mutations de ce mercredi 11 mars 2020, a choisi d’aller sur les pas des nouveaux députés à l’occasion de la session de plein droit qui « est ouvert mardi du côté du palais des verres de Ngoa-Ekelle. Notre confrère relève aussi que le président de ladite chambre est “absent, mais présent”.
Le Jour de ce jour parle d’une nuit de guerre à Bamenda. Selon le quotidien bleu, les coups de feu ont troublé le sommeil des habitants dans la nuit de lundi dans le chef-lieu de la région du Nord-ouest.
“Liberté d’expression : la répression au faciès du pouvoir”, c’est le titre de Une du trihebdomadaire Essingan paru en kiosque ce matin. Le journal présent quelque repris de justice à sa première de couvertures comme Georges Gilbert Baongla, Martinez Zogo, Leger Ntiga, Nestor Nga Etoga, et même feu Bibi Ngota, et regrette que le “pouvoir se montre compréhensif vis-à-vis des ONG internationales et certains organes d’informations qui contribuent activement à la déstabilisation du Cameroun. Et pourtant, pour si peu, des confrères ressortissants de certains groupes sociologiques sont morts embastillés, quand d’autres croupissent en prison”.
Fidèles abonnés, merci de nous avoir une fois de plus visité ce jour. Bonne journée et à demain.
{module Revue de presse sponsor}