L’ancien directeur général de la CRTV, Amadou Vamoulké a finalement été condamné le 20 décembre 2022 à douze ans de prison pour détournement de fonds publics. L’information occupe la grande Une de plusieurs journaux en kiosque ce jour. Le quotidien Le Jour revient sur le film de cette audience « particulier », qui connait son épilogue au bout de six années en détention provisoire.
Émergence en kiosque traite de la même actualité et évoque quelques chiffres. Après plus de 130 reports de son procès devant le Tribunal criminel spécial (TCS) et six années de détention provisoire à la prison centrale de Kondengui, à Yaoundé, la justice camerounaise a condamné le 20 décembre dans la soirée l’ancien directeur général de la CRTV, Amadou Vamoulké, à douze ans de prison et 47 millions de francs CFA d’amende. Dans la même affaire, lit-on dans le journal, Polycarpe Abah Abah, ancien ministre de l’Économie et des Finances (2004 à 2008) écope de 17 ans.
Parlons des fêtes de fin d’année avec le quotidien à capitaux publics, Cameroon Tribune. À quelques trois jours du premier arrêt que constitue la fête de Noël, « l’effervescence monte dans les marchés, grandes surfaces, et dans les familles », fait-il remarquer. Malgré un contexte économique difficile, note le journal, l’on s’active çà et là pour faire plaisir aux proches dans un grand moment de célébration. Retrouvez la température des fêtes dans les colonnes de Cameroon Tribune.
À compter du 1er janvier 2023, toutes les motos achetées auprès des différents concessionnaires devront être immatriculées avant leur mise en circulation dans la ville de Douala. L’annonce, selon Mutations qui en parle ce matin, a été faite le mardi 20 décembre à Douala, à l’issue de deux réunions de travail présidées par le ministre de l’Administration territoriale (Minat), Paul Atanga Nji. Le membre du gouvernement, lit-on, a été dépêché dans la métropole économique « sur très hautes instructions du chef de l’État » à l’effet d’évaluer la situation sécuritaire de la ville, en cette veille de fin d’année marquée par des actes de violence et de vandalisme.
Le représentant résidant du Fonds des Nations Unies pour la Population et le ministère la Santé ont signé le 21 décembre dernier, une convention de partenariat pour le financement, la mise à disposition et l’accessibilité des produits reproductive au Cameroun. Les tours et les contours de ce partenariat sont à lire dans les colonnes d’Échos Santé disponibles ce matin.
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