Très chers abonnés, bonjour et bienvenus à votre revue quotidienne de la presse sur lebledparle.com. Comme tous les matins, retrouvez ci-dessous, l’essentiel des informations parues dans les kiosques au Cameroun.
Mettons le pied sur l’étrier avec le journal de Paul Nguoaré Kindji qui exhorte le ministre de la Santé publique à tourner le regard « aux hiboux » et à se concentrer sur la mission que lui a confiée le chef de l’État. « Alors que ses détracteurs l’ont jeté en prison depuis des semaines pour le Covid, le ministre de la Santé publique est sur le terrain. Manaouda Malachie prend la température des hôpitaux afin de les booster. Après Ebolowa, Douala et Bafoussam, il était à Bertoua vendredi dernier. La mine très détendue, le Dr Manaouda a la tête au travail malgré le lynchage inutile dont il est victime. Sous d’autres cieux et pour ceux qui l’ont déjà condamné avant les résultats des enquêtes sur la gestion des fonds Covid, le ministre de la Santé publique devait se cacher. Après avoir été auditionné sur le sujet Manaouda Malachie s’est remis au travail. Depuis son arrivée au ministère de la Santé il avait inscrit dans son programme des descentes sur le terrain pour évaluer les plateaux sanitaires dans les dix régions du Cameroun », lit-on dans les colonnes de Réalités Plus.
La Voix des Jeunes est aussi en kiosque et parle d’un jeune, Borel Taguia qui suscite de l’admiration dans l’essor de la technologie au Cameroun. À seulement 27 ans, cet ingénieur et entrepreneur est l’inventeur du premier drone solaire doté d’une intelligence artificielle en Afrique. Auteur du livre « itinéraire d’un entrepreneur africain » Borel Taguia, vient de lancer Tagus Investment, le premier réseau social africain d’investissement basé sur le crowdfunding, apprend-on en page 3 de La Voix des Jeunes.
« L’État reprend le contrôle de la NFC – Bank », informe EcoMatin de ce matin. Selon lui, réunis en assemblée générale extraordinaire le 30 mai 2021, les actionnaires de la National Financial Credit Bank SA ont approuvé l’entrée de l’État dans le capital. « Désormais actionnaire majoritaire, l’État espère, à travers cette prise de contrôle, sortir la banque de la zone de turbulence qu’elle traverse depuis 2009 », écrit notre confrère qui précise que cette décision rentre dans le cadre du plan de restructuration de cette banque validé par la Cobac. Selon les informations de EcoMatin, Zacharia Awanga, jusque-là PCA, avec ses 60 % du capital, « est en ballotage défavorable dans la nouvelle géographie de l’actionnariat », cette folle série est à retrouver dans le journal d’Émile Fidieck.
On reste en économie avec le quotidien l’Économie pour parler des orientations du FMI pour l’amélioration des performances des entreprises publiques camerounaises. L’on apprend dans ce chapitre que l’institution de Bretton Woods a rendu son rapport à la suite d’une mission d’assistance technique qu’elle a effectuée au Cameroun du 15 au 26 février 2021.
Un bon vers l’avant, une dynamique de croissance au port autonome de Douala. Le constat nous est fait ce matin par La Voix du Centre. En apprend dans sa publication de ce matin que cette entreprise publique va réaliser une économie de 103,68 milliards de FCFA sur 15 ans. « De sérieuses études démontrent que le PAD est dans une véritable dynamique de croissance », peut-on lire.
Econews évoque la même actualité dans ses colonnes ce matin. De son point de vue, il apparait que le PAD a lancé depuis 4 ans, le processus de modernisation et de développement du combinat Port autonome de Douala afin de l’arrimer aux standards internationaux. « Une mission interministérielle a séjourné à Douala du 8 au 12 février 2021 avec pour mandat de l’examen des contestations nées de la délimitation du domaine foncier du Port autonome de Douala », écrit notre confrère.
Avec Mutations, on parle du domaine privé de l’État. Signée le 4 juin, « une circulaire du MINDCAF visant à consolider et protéger les droits de l’État sur les terrains déclarés d’utilité publique, met le directeur des domaines, le directeur des affaires foncières et les délégués régionaux face à leurs responsabilités », apprend-on.
Chers abonnés, c’est sur cette information que nous parvenons au terme de cette revue de presse. Merci d’avoir été des nôtres. À demain pour une nouvelle édition.
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