Lebledparle.com, François Gaël Mbala
Très chers abonnés bonjour et merci de répondre encore présents à ce rendez-vous matinal. La presse quotidienne camerounaise de ce matin parle dans sa grande majorité du Covid-19, et d’autres faits sociaux qui font l’actualité en ce moment.
Ouvrons cet exercice avec le journal à capitaux publics, Cameroon Tribune qui fait savoir que la lutte contre les emballages plastiques au Cameroun relève d’une « guerre d’usure ». À en croire le récit du journal en kiosque, la destruction récente d’une cargaison de 42 tonnes à Garoua et l’interpellation de l’ONG Greenpeace viennent rappeler que « la lutte contre ces emballages, lancée il y a 9 ans par le gouvernement n’est pas encore gagnée ».
Il n’y aura pas d’augmentation des prix des produits brassicoles pour le compte de l’année 2021. L’information est du journal InfoMatin qui lui-même site un communiqué de presse du ministre du Commerce, signé le 11 octobre 2021, au terme d’une réunion avec les responsables du Cameroon Alcohol producers Association (CAPA).
L’affaire Hilaire Ayissi à l’hôpital central de Yaoundé fait la Une du journal Echos Santé. Selon notre confrère, le rapport d’autopsie de la famille du défunt, déposé auprès des services compétents hier lundi 11 octobre relève que tous les organes du jeune Hilaire Ayissi Mengue « sont en place ».
Désormais le personnel du palais de l’unité devra présenter à l’entrée un test de vaccin Covid-19, nous fait savoir l’hebdomadaire Terre Promise en kiosque. D’après lui un communiqué « attribué au secrétaire général à la présidence de la République annonce au personnel en service dans cette institution qu’à l’issue d’une campagne qui a commencé lundi dernier, l’accès au palais de l’Unité ne sera permis qu’aux personnes vaccinés ».
A la Une de Le Messager en kiosque, l’on apprend que la Cour suprême a rétrocédé les biens de l’emblématique maire de Bandjoun, Fotso Victor en désavouant dans la foulée, son épouse dans son « élan d’appropriation ».
C’était tout pour ce matin chers abonnés, merci d’avoir été des nôtres. A demain.
