Chers abonnés c’est un plaisir renouvelé de vous retrouver encore ce matin pour cette balade matinale. Notre aventure ce mardi sera beaucoup axée sur la rentrée scolaire qui plane à l’horizon, du MRC et d’autres faits ponctuels qui influencent l’actualité sociopolitique. Bonjour et bienvenus à notre revue de presse !
La question de l’accessibilité du manuel scolaire dans le primaire est la préoccupation centrale du journal à capitaux publics, Cameroon Tribune. Selon le journal, le ministre de l’Éducation de base, Laurent Serges Etoundi Ngoa a annoncé une vaste opération de distribution de 4 millions de livres dans 13 000 mille écoles sur l’ensemble du territoire. Cette opération d’un coût total de 7,5 milliards de FCFA, indique notre confrère, est destinée à faciliter l’accès au manuel scolaire. Cette opération qui démarre le mercredi 30 septembre est le fruit de la coopération entre l’État du Cameroun, et la Banque mondiale.
Mutations indique pour sa part que la transparence dans la gestion des frais de scolarité et d’examens n’est pas toujours acquise dans les collèges et lycées, malgré l’instauration des paiements électroniques.
Dans sa page 5, édition de ce mardi, Émergence questionne les possibilités d’un retour des classes en pleine crise de Covid-19. Alors que les mesures barrières semblent à être abandonnées par les populations, le journal estime que cette situation pourrait provoquer une résurgence de la pandémie dans le pays.
Le Jour nous explique plutôt pourquoi le leader du MRC, Maurice Kamto est « séquestré ». D’après le journal d’Haman Mana, les autorités l’accusent d’être porteur d’un projet insurrectionnel. Alors que son collectif d’avocats l’a rencontré hier, le député du SDF dans les colonnes du journal appelle à la « levée de blocage sauvage et demande la libération des personnes arrêtées le 22 septembre » dans le cadre des marches organisées par le parti.
Le Messager parle du litige qui oppose le directeur de la CNPS, Alain Noël Mekulu Mvondo, le directeur du Cabinet civil, Samuel Mvondo Ayolo, et le ministre des domaines, Henri Eyebe Ayissi, autour d’un domaine foncier à la Caisse nationale de prévoyance sociale. Selon Le Messager, bien que la villa à polémique eût déjà été vendue au directeur du cabinet civil en fin d’année 2019.
Dans les colonnes du journal l’Économie paru en kiosque ce matin, on apprend que le Minepat et le Fonds international de Développement agricole le 25 septembre 2020, destinée à la deuxième phase du projet d’appui de développement des filières agricoles notamment le riz et les oignons.
Chers abonnés c’est le peu de journaux parvenus à notre rédaction ce matin. Merci de nous avoir renouvelé votre confiance. Qu’il en soit pareil demain. Bonne journée !