Chers abonnés vous faites bien de nous renouveler votre confiance et votre fidélité tous les matins ! Bonjour et bienvenus à votre revue de presse édition mercredi 3 mars 2021. Les journaux en kiosque ce matin parlent dans leur grande majorité du Covid-19 et les casseroles qu’il traine dans l’espace public. Ci-dessous, la quintessence des informations parues dans les journaux.
Sevré de son budget, Mutations fait savoir qu’Alim Hayatou, Secrétaire d’État auprès du ministre de la Sante Publique, chargé de la lutte contre les Épidémies et les Pandémies a adressé une lettre en date du lundi 1er mars 2021, au ministre de la Santé publique, Manaouda Malachie pour lui demander « pourquoi il lui coupe les vivres ». Le montant de cette enveloppe, lit-on, s’élève à 142 millions de FCFA.
Au moment où Alim Hayatou dénonce la coupure de « ses vivres » chez nos confrères de Mutations, la lutte contre le coronavirus engendre des passions chez Essingan. « Alors que le gouvernement autorise l’organisation des concerts et autres manifestations publiques, le ministre de la Communication entouré de son collègue de la Santé et du délégué général à la Sureté nationale accusent plutôt les populations d’indiscipline. Dans le même temps, le Cameroun annonce une campagne deF vaccination au détriment d’une solution endogène », regrette le trihebdomadaire en sa page 5.
Pour des besoins de transparence dans la gestion des fonds Covid-19 au Cameroun, le gouvernement s’apprête à initier un audit. Le quotidien l’Économie qui en parle ce mercredi informe que le ministre des Finances, Louis Paul Motazé vient de lancer un appel à manifestation d’intérêt en vue de la présélection des cabinets de consultant pour cette mission.
L’Essentiel du Cameroun dit l’essentiel sur cette pandémie au cours des deux derniers mois dans le pays. Avec plus de 10 000 cas entre le mois de janvier et février, écrit le journal, l’épidémie « semble revenir avec plus de force ». Selon les informations du journal, le gouvernement n’envisage pas un confinement pour le moment.
La contrefaçon semble avoir trouvé un terrain fertile au Cameroun depuis peu. Dans une enquête menée par le journal Repères de feu Richard Touna Ombé et proposée dans ses colonnes ce matin, il en ressort que vins et spiritueux, médicaments, eaux minérales, boissons alcoolisées et gazeuses, produits alimentaires sont des produits cibles des faussaires. Ces derniers à en croire notre confrère ne sont pas sans risque, car constitue une menace non seulement pour la santé des consommateurs, mais aussi pour l’économie nationale.
L’Avenir propose plutôt de découvrir les moyens de lutte employés par le ministère du Commerce pour tordre le cou à la contrefaçon au Cameroun. On apprend avec ce confrère que les décentes inopinées de Luc Magloire Mbarga Atangana dans les établissements de consommation des vins et spiritueux, ont permis la saisie massive des whiskys et champagnes dans les villes de Yaoundé et Douala. « La brigade de contrôle et de répression des fraudes quadrille le triangle national », peut-on lire.
Parlons politique avec le journal L’Action du comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC). En prélude au renouvèlement de ses organes de base, lit-on en page 5, le Secrétaire général du Comité central du RDPC, Jean Nkuete a signé une circulaire qui définit le processus d’établissement de la cartographie des organes de base du parti aussi bien au Cameroun qu’à l’étranger.
Chers abonnés, c’est ici que prend fin cet exercice. Merci d’avoir été des nôtres. A demain !
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