Nous démarrons ce vendredi avec les nouvelles du Qatar. La France rejoint mercredi dernier l’Argentine en finale de la coupe du monde 2022. Solide en défense et clinique en attaque, la France élimine le Maroc et s’offrait là, une 4e finale de Coupe du monde. T. Hernandez et Kolo Muani ont sanctionné un collectif marocain plus déchainé qu’à l’accoutumé mais maladroit dans la zone de vérité. Alors que les Bleus tenteront de défier l’Argentine dimanche en finale, L’Essentiel du Cameroun estime que « la France a brisé le rêve africain ».
Échos Santé parle de l’élection à la tête de la présidence de l’Ordre national des Médecins du Cameroun, et présente les profiles des 7 candidats en lice. Lesdites candidatures, apprend-on, ont été validée le 15 décembre dernier par la Commission électorale mise en place par le ministre de la Santé publique.
En économie, on reparle de la taxation des fèves de cacao à l’exportation. Dans les colonnes du quotidien l’Économie, le directeur général des Douane se prononce sur cette actualité. Dans une interview exclusive, Edwin Fongod Nuvaga rassure que la taxe 10 % sur le cacao exporté n’aura pas d’impact chez le producteur local, dans la mesure où « c’est l’exportateur qui va supporter le prélèvement ». Aussi, indique-t-il, la démarche du gouvernement est « de durcir quelque peu les conditions d’exportation du cacao sous forme de fèves brutes, afin d’encourager la transformation locale ». L’interview est à lire absolument en page 3 du quotidien l’Économie en kiosque.
Une Camerounaise, du nom de Marie Pauline Bella vit « son enfer à Abidjan » en Côte d’Ivoire. L’information occupe la grande Une de Mutations en kiosque ce jour. Selon notre confrère, elle est en détention dans ce pays d’Afrique de l’Ouest depuis deux ans sans jugement. Les détails sont à retrouver dans Mutations en kiosque ce jour.
Le trihebdomadaire Essingan s’intéresse à une affaire foncière à Nkolmeyang. Notre confrère nous apprend que le Nigérian Nnamdi Nwosu « braque trois hectares » de terre à un autochtone, sans « aucun acte légal, ni légitimité ». Dans son entreprise, l’expatrier veut convaincre Toulou Kono Medoulou de lui concéder un morcèlement de 3 hectares. « Face au refus du détenteur du titre de propriété sur le site, l’impétueux escroc l’a assigné en justice depuis 2020 », peut-on lire.
Chers abonnés, c’est ici que prend fin cet exercice ce matin. Merci d’avoir été des nôtres. Excellent week-end !