Le journal La primeur de l’Info Plus en kiosque ce jeudi 16 juillet 2020 a listé une série de sept mobiles qui peuvent faire partir sans le vouloir, certaines personnalités du gouvernement.
Il est rare que le président de la République Paul Biya excède dix-huit mois sans qu’il n’ait procédé à un remaniement, mieux, un réaménagement ministériel.
Mais à peine cette date est passée le 4 juin dernier qu’un vent de nominations souffle dans les couloirs. Du coup, chacun y va de son analyse sur qui pourra s’abattre le sort du limogeage par celui qui les a nommés le 4 janvier 2019.
Le journal La primeur de l’info Plus en kiosque ce jeudi 16 juillet 2020 recense sept raisons qui pourraient jouer en la défaveur de beaucoup qui occupent actuellement différents postes ministériels.
« Extrême longévité aux affaires, carence des résultats pendant les 15 derniers mois, adhésions suspectes aux réseaux de succession à la tête de l’Etat, impopularité à nulle autre pareille dans les circonscriptions politiques dont ils sont originaires, incompétence notoire car complétement perdus dans leurs administrations respectives, insubordination constatée vis-à-vis du Premier ministre chef du gouvernement, enrichissement illicite, détournements des derniers publics, dossiers judiciaires clôturés au Tribunal criminel spécial », peut-on lire en page 3 de l’hebdomadaire d’informations générales.
Sans négliger la pertienence des prévisions faites par le confrère, notons que le chef de l’Etat détient l’un ou l’autre critère qui milite en faveur de la nomination d’un responsable quelconque à un poste de responsabilité en remplacement d’un autre qui peut être frappé de limogeage.
Qui sont donc ceux qui seraient coupables de ces manquements soulevés par le journal ? Question pour le moment énigmatique. Mais le moment venu, l’on en sera fixé à ce sujet.