Après la violence qu’ils ont infligée à Barbara Cécile Koumou à l’hôpital de district d’Efoulan, les garde-malades inculpés ont été interpellés puis remis en liberté en attendant l’issue de l’affaire.

L’hôpital de district d’Efoulan à Yaoundé a été au centre de la presse le 3 novembre 2019. Pour cause, la violence qu’a subie le médecin d’un groupe des personnes qui lui demandaient de s’occuper de leur personne malade arrivé « dans un état crique », mais donc la réponse ne les aurait pas enchantés.
Mouaboulou Cécile, enseignâtes, Meuleu, chef de service de la cellule informatique à la direction du budget au ministère des finances, Pouam, cadre de l’Agence de Régulations des télécommunications(Art), et Nkem Alphonse, lieutenant de gendarmerie sont les principaux accusés de l’affaire qui ont plaidé « non coupables ».
Incarcérés le 5 novembre 2019, comme l’indique le journal Kalara, les accusés se sont présentés au tribunal de grande instance de Yaoundé.
En attendant le 25 novembre prochain, date de renvoi de l’affaire, « Les avocats des accusés ont introduit des requêtes en vue de la mise en liberté sous caution de leurs clients », renseignent le journal de Christophe Bobiokono.