Roméo Dika n’est pas resté bouche-bée depuis qu’il est sorti de la police judiciaire le 21 octobre 2020.
L’homme des médias a récemment été entendu à la PJ « sur la base de présomptions de divulgation de document administratif sur les réseaux sociaux », rendait-il compte au sortir de la salle le 21 octobre 2020.
Depuis lors, le promoteur de la radio des artistes remet en cause la procédure judiciaire. Il s’est encore exprimé à ce propos dans une série de twitts : « Depuis ma démission du RDPC, quand presque toutes les deux semaines le même procureur signe une convocation devant la justice, cela s’appelle quoi ? N’est-ce pas du harcèlement judiciaire ? comment des gens qui disent que tu n’es rien s’acharnent donc sur toi ? », s’est-il interrogé.
Bien plus, s’étonne l’artiste musicien, : « il m’a dit en février 2020 que je faisais du chantage au président car je revendiquais le paiement de mes factures depuis 2004. Je décide donc de partir pour ne plus faire le chantage au président ; il mobilise la tribu, artistes oubliés ; magistrats, policiers et casser le douala », écrit-il.
L’ancien militant du RDPC ne va pas sans envoyer un message à ses détracteurs : « Que ceux qui sont à tort mes ennemis ne se réjouissent pas à mon sujet, Que ceux qui me haïssent sans cause ne m’insultent pas du regard ! Car ils tiennent un langage qui n’est point celui de la paix, Ils méditent la tromperie contre les gens tranquilles du pays », peut-on lire sur son twitter.